Un anniversaire inédit !
Un récit du Mystère de la Plume
Un récit du Mystère de la Plume

La nuit est bien entamée. Seuls les claquements des talons aiguilles sur le bitume résonnent encore. Sandra, au bras de Jacques, est tellement heureuse et épanouie grâce à lui !
Comme elle s’avance dans la ruelle menant à leur appartement, le bras de son mari la retient en arrière.
– Non ! Pas encore. La nuit n’est pas finie, ma chérie. Je pourrai même dire qu’elle ne fait que débuter.
– Que débuter ? Je ne comprends pas. Nous sommes allées dîner ensemble et tu m’as offert mon cadeau d’anniversaire : de superbes boucles d’oreille pendantes avec un ensemble de lingerie. Tout pour me contenter. Tu connais mes préférences et je ne m’en lasserai jamais.
– Oui. Une partie de ton cadeau. Mais, l’autre ?
– Quelle autre ?
— Celle dont nous avons parfois discuté, celle que tu m’as avouée avec timidité, un soir de fête, désinhibée par de nombreux verres de Saint Estèphe. Tu te souviens ?
Sandra s’immobilise instantanément et tourne ses yeux sombres vers le profil de l’homme aimé.
Elle sait parfaitement bien à quoi il fait référence. Il lui chuchote le dernier de ses fantasmes encore jamais assouvi, celui qu’il a dû lui extirper à grands renforts de liqueur vigneronne : le désir de se sentir une double pénétration.
– Tu le souhaites toujours ?
Notre partenaire de jeu nous attend si tu en as envie. Moi aussi, je suis excité à l’idée de te partager et de pouvoir contempler ton plaisir total, prise par une autre queue.
Il place une main forte et dirigeante au creux de ses reins pour la guider jusqu’à un hall d’immeuble. Devant les miroirs encadrant l’ascenseur, il la contemple, la regarde, la jauge et fait descendre la fermeture éclair à l’avant de sa robe de dentelle noire.
Deux seins charnus jaillissent de l’entrebâillement. Le redresse sein laisse apparaître des tétons déjà épanouis, raides, sombres, gorgés de désir.
Son regard s’y attarde tandis que la main de la jeune femme caresse doucement la braguette gonflée de son compagnon. Elle écarte plus largement ses cuisses devant lui comme pour l’inviter à glisser sa main sous l’ourlet afin d’attiser l’excitation qui naît à l’écoute du programme de ce soir. Il sait que le feu commence à bouillir dans ses veines, sous sa peau. Il ne la connaît que trop bien. La passion sexuelle, bridée par sa raison, est à fleur de peau. Elle lui offre aussi son cou, se rapprochant de lui. La main de Jacques se fait faussement hésitante.
Il est bien décidé à la faire languir, à la chauffer pour la préparer pour leur hôte de jeu. Le nylon se soulève et l’air frais de la nuit s’engouffre sous la robe, dévoilant une chatte nue et épilée.
Sandra ne porte aucun string, comme il lui a demandé. Elle adore ! Elle adore sentir sa peau nue et caressée, exposée et prête à être prise, sans qu’aucun passant de la rue ni client du restaurant n’envisage cela sous son masque sérieux de bonne bourgeoise. Personne ne doit savoir qu’une salope sommeille en elle !
Ses doigts écartent légèrement ses lèvres, palpent la chair douce et déjà humide, glissent en elle pour trouver une moiteur dense. Ils la pénètrent. Elle gémit sous les sensations de cette intrusion et pose sa tête contre sa clavicule. Jacques sort son téléphone portable de sa poche arrière et déclenche la caméra au niveau de l’entrejambe de sa belle.
Il la filme en train de se faire doigter, nue jusqu’à la taille, les seins exposés aux lumières crues du hall. Elle gronde malgré elle tandis qu’un bruit de succion sort de sa chatte excitée.
– Je pense que tu es prête pour lui, pour nous. Dépêchons-nous, il nous attend.
Jacques sonne.
La battant s’ouvre et se ferme derrière eux à leur entrée. Un casque de motard orné d’oeillets repose au pied d’un porte manteau. Jamais la jeune femme n’a été aussi excitée et angoissée à la fois. Son mari se penche pour lui déclarer au creux de l’oreille tandis que l’inconnu les fait entrer dans son salon.
– Tu ne t’occupes pas de moi, Sandra. Je veux que tu prennes ton pied avec lui, sans te poser de question, sans te culpabiliser. Je veux contempler ma femme, admirer la vraie salope qui dort en elle prendre tout le plaisir qu’elle mérite.
Sandra lui adresse un sourire timide pendant qu’elle découvre les lieux.
– Bonjour Sandra. Tu vas bien ? Veux-tu boire quelque chose peut-être ?
La jeune femme décline la proposition, craintive devant cet homme qu’elle ne connaît pas. Jacques lui a brossé en quelques mots le portrait de sa femme et ce dernier a bien conscience de sa timidité. Oui. Elle possède des envies mais elle a besoin d’être invitée, bousculée pour se libérer.
Le message est bien imprimé dans son esprit. Il n’attend donc pas une autre autorisation pour assouvir lui aussi le désir qui l’étreint.
L’inconnu ne demande pas son reste.
Sa main large prend celle de la jeune femme et la plaque sur son érection à travers l’étoffe épaisse. Elle sent une bite longue et dure qui n’appelle qu’à être libérée et choyée. Sa bouche vient prendre possession de la sienne et il l’embrasse avec avidité, goulûment comme s’il voulait la dévorer. Les reins de Sandra s’embrasent instantanément et les derniers lambeaux de réserve volent en éclat. La femme avide de sexe et de jouissance met à bas celle réservée et fidèle.
Avec dextérité, ses doigts font sauter le bouton métallique de la fermeture éclair. Ils agrippent le jean et le boxer pour les faire descendre jusqu’ aux chevilles. Une queue massive tendue n’appelle que sa main et sa bouche. Comme elle s’apprête à se mettre à genou pour entamer une fellation, une voix autoritaire suspend son mouvement.
– Déshabille-toi. Je te veux toute nue sur mon canapé. Je vais m’asseoir à côté de Christophe et nous allons te regarder. Donne-nous un beau spectacle. Je veux voir une salope se doigter. Ensuite,tu seras récompensée, je te prendrai et Christophe aussi.
Sa robe vole d’un geste. Les escarpins rejoignent instantanément le reste. Christophe se lève et lui place un masque noir sur les yeux.
– Vas-y, ma pute. Je sais qu’elle est au fond de toi. Ce soir, je souhaite la voir.
Confortée par cette privation de sens, Sandra peut enfin laisser parler celle qui est en elle, même devant un inconnu.
Elle attrape à pleines mains sa poitrine généreuse et se malaxe les seins.. Le pouce et l’index caressent doucement ses tétons puis les font rouler pour les pincer.
Elle gémit doucement et sent son clitoris vibrer. Doucement, elle ondule son bassin pour laisser traverser sa chatte par les vagues de plaisir. Elle enjambe l’accoudoir du canapé et s’y frotte, comme elle se frotterait à l’érection d’un partenaire. Son sexe chauffe grâce au tissu rèche. Cuisses écartées, elle se donne du plaisir ainsi, faisant monter sa pression interne pour finir par s’asseoir. Un doigt, deux puis trois. Elle se pénètre et entame un lent va et vient qui s’accélère.
Bien décidée à se faire jouir le plus rapidement possible, Sandra n’est plus dans ce salon, contemplée par les deux hommes, assis chacun dans leur fauteuil en train de se masturber. Non ! Elle est au plus profond de son corps, à l’écoute de ses sensations et se donne du plaisir comme jamais, devant ces deux voyeurs. Elle gémis bien plus fort et retire ses doigts de son sexe dont la mouille commence à s’écouler, le long de ses lèvres. Contre toute attente, d’autres doigts, plus rudes remplacent les siens et emplissent son sexe.
Ils écartent ses petites lèvres, titillent son clitoris, glissent en elle tandis que l’autre main pince ses tétons. effleurent le creux de ses reins, son dos et pince ses fesses charnues.
– Tu portes un plug, ma salope. Très bien. Tu es suffisamment dilatée pour que je t’encule tout à l’heure. Tu vas la prendre toute entière d’abord dans ta bouche.
Ses tétons durcissent bien davantage sous les propos crus de cet inconnu et les tortures de ses doigts. Un dernier pincement la fait haleter et les deux doigts qui l’ont pénétré envahissent sa bouche. Sandra déguste sa propre excitation, découvre son goût musqué et doucereux.
Bientôt sa langue passe sur les deux phalanges de l’homme, les lapent, les sucent comme elle aimerait sucer son sexe. Elle n’a pas besoin de formuler sa demande qu’un embout humide et tendre se pose sur sa lèvre inférieure. Les doigts sont remplacés par une érection massive et poilue, celle de son gode sur patte. Bouche ouverte, elle le laisse pénétrer cet orifice, elle s’y abandonne avec délice.
Sa poitrine est tendue, lourde et rebondit légèrement à chaque pénétration. La main sur sa tête, il la maintient plaqué contre lui, s’offrant une gorge profonde.
Sandra la sent buter contre sa glotte, le nez dans les poils de ses couilles. Il ne la baise pas, il la possède, il la prend, il lui prend la bouche, avec vigueur et sans concession. De plus en plus rapidement. La langue de Sandra lèche le dessous de la bite à chaque poussée et ses joues pompent à chaque retrait, comme si elle voulait encore le garder en elle pour le dévorer. Sandra en veut plus, beaucoup plus…
A quatre pattes sur le canapé, d’autres mains, celles identifiables entre toutes, celles de son époux s’arriment à ses hanches et lui caressent le dos, avec douceur, avec encouragement, lui témoignant sa force et son admiration à si bien encaisser les assauts virulents de leur partenaire de jeu. Jamais elle n’avait ressenti cela… tant de mains qui lui caressent le corps, des mains sur elle, et bientôt deux sexes en elle. Il présente à son tour son gland saillant à l’entrée de sa chatte.
Christophe n’a aucune envie de préliminaire. Il n’aspire qu’à la pénétrer, à l’emplir de sa jouissance pour se soulager une première fois. Voir sa femme se donner elle-même du plaisir, observée par un inconnu se branlant à côté de lui a eu raison de sa patience. Quant à observer sa femme se délecter du membre de son voisin… il n’en peut plus. D’un seul coup, tu la pénètres, sans préparation. Sous la surprise de ces nouvelles sensations, Sandra pousse un feulement inédit et l’érection sort instantanément de la bouche.
– Oh oui ! Que c’est bon… putain que c’est bon. J’adore. Allez-y.
Christophe sourit car il savait qu’elle aurait aimé cela. Bien souvent, il avait imaginé cette scène et il avait attendu un jour spécial pour lui offrir cela.
Avec des coups de reins frénétiques, il s’enfonce en elle comme il aurait chevauché une chienne en chaleur. Ce qu’est sa propre femme, actuellement, ni plus ni moins. Ses seins rebondissent à chaque coup tandis qu’elle s’empale sur sa queue et sur celle occupée par sa bouche. Prise par les deux extrémités, totalement comblée. Il entend sa respiration devenir de plus en plus forte, de plus en plus intense. Habituellement muette, ici, elle exalte son plaisir, elle gémit fortement et ponctue leurs assauts par des “encore” très sonores. L’index de son homme trouve aisément son clitoris dur et gorgé, une crête proéminente et sensible.
Il se pose dessus et appuie. Sandra hurle à en lâcher le sucre d’orge que sa langue lèche. Il sent ses cuisses frémir et son jus couler sur son doigt. Elle est aux portes de la jouissance. D’une main, il lui ôte le bandeau.
– Je veux que tu regardes l’homme qui te baise la bouche pendant que nous allons jouir en toi. Ensuite, tu me chevaucheras pendant qu’il prend ton petit cul. Il adore la sodomie et comme tu es bien dilatée avec ton plug, il entrera comme dans du beurre.
Elle esquisse un sourire timide de nouveau, mais ravi. Ils la pénètrent en cadence, calquant leurs mouvements sur l’autre partenaire. C’est fort mais aucun des deux sexes ne lui laissent un instant de répit.
Chacun contemple leur érection la pénétrer, l’un la bouche, l’autre la chatte. Sandra approche de la jouissance. Le temps d’un battement de coeur, d’un dernier soubresaut, elle sent un tsunami soulever son corps pour l’envoyer dans les airs. Elle ne crie pas, elle rugit de plaisir avec une force inouïe, presqu’à s’évanouir.
Au même instant, ses deux trous reçoivent le sperme de ses partenaires, leur servant de vide-couille. Ils restent à se déverser en elle encore quelques instants puis se retirent.
– On boirait bien cette fois une coupette pour arroser ton anniversaire et cette première. Qu’en pensez-vous ?
L’inconnu se dirige vers une autre pièce que Sandra suppose être la cuisine. Il en revient avec une bouteille verte. Assis l’un à côté de l’autre sur le canapé, ils savourent leur coupe de champagne. La jeune femme, assoiffée, a bu la sienne d’une traite. Ses mains se mettent à caresser la cuisse de chacun de ses voisins. Ils rient à son initiative.
– Tu n’as plus besoin de bandeau, ma belle, à ce que je vois.
Elle éclate de rire et ne peut qu’acquiescer.
– Tu ne m’as pas fait une promesse il y a quelques minutes ?
– Laquelle ?
– Tu sais bien.
– Non. Dis-nous en plus. Nous voulons t’entendre.
– Vous êtes lourds, les gars, vous savez bien. Vous m’avez proposé une double pénétration et cette fois, pas dans ma bouche mais dans ma chatte et mon cul. J’ai rechargé les batteries. Je suis prête.
Sandra rougit sous les termes salaces utilisés tandis que Christophe échange un clin d’oeil avec son voisin.
– Et bien, Christophe, tu m’avais dit que ta femme était une timide. Je pense que tu t’es fourré le doigt dans l’oeil. Tu as épousé une grosse salope gourmande. Vos désirs sont des ordres, madame….
Assise au milieu de ces deux hommes, Sandra, un sourire ravageur, fait remonter sa main vers chaque sexe dressé. Ravie de caresser deux queues en même temps, ces mêmes queues qui vont la prendre pleinement dans quelques minutes. Elle les sent palpiter entre ses doigts. Côte à côte, ses partenaires la regardent les regarder.
Ce jeu de regard et les caresses font durcir bien davantage les érections. Elle soupire, elle les admire, elle hésite… laquelle choisir pour sa chatte et laquelle pour son cul.
Elle se lève et se place au dessus de l’érection de l’inconnu. Il l’observe puis décolle son dos du dossier pour prendre entre ses lèvres les tétons durs d’excitation. Elles les pincent, les aspirent et les lèchent. Les cuisses de Sandra ne tiennent plus longtemps et descendent brusquement pour s’empaler sur la queue préparée.
La pénétration écarte les chairs sans rencontrer aucun obstacle. Le sexe est engouffré dans cette chatte en feu, chaude et mouillée jusqu’à la base de l’aine. Déjà l’excitation de la femme coule le long de ses couilles.
Elle se relève très légèrement puis retombe dessus en rythme. La jeune femme pose les mains sur ses épaules pour s’arrimer à lui tellement les sensations sont violentes, profondes, et… bonnes… tout simplement. Aucun adjectif élaboré ni soutenu ne pourrait mieux décrire le plaisir d’être prise de cette manière, chevauchant la bite d’un inconnu comme une guerrière Amazone.
Jacques s’approche et caresse ses fesses pleines. Il saisit l’extrémité du plug et le fait sortir de son orifice. Ce retrait la plonge dans une folie de plaisir. Elle éructe, gronde, crie, la bite toujours ancrée ou sortie d’elle. Il présente son gland à l’entrée de son cul qui s’ouvre complètement. Il glisse en elle… lentement, doucement…
– Oh oui ! Prends moi le cul aussi, mon chéri.
Sandra recule légèrement les fesses pour que son érection y entre entièrement. Les deux hommes essaient d’accorder leur mouvement en harmonie pour baiser Sandra. Jamais elle n’a ressenti un tel plaisir, une telle plénitude, d’être écartelée et fourrée jusqu’au plus profond d’elle même.
Fermant les yeux quelques secondes,elle repousse tant bien que mal l’orgasme qui s’apprête à la foudroyer. Elle respire fort pour le contrôler une ultime seconde et pousse un cri profond, bestial tandis qu’elle joui comme jamais elle ne l’a fait.
Les hommes accélèrent encore la cadence pour lui faire goutter les dernières vagues de plaisir avant d’éjaculer eux-mêmes. La jeune femme sent leurs giclées chaudes dans sa chatte et son cul qui se ferment instantanément pour les garder bien en elle… longtemps, le plus longtemps possible. Les sentir, les ressentir… au plus profond… pour ne jamais oublié cette nuit inédite et cette intimité improbable entre ces 3 partenaires, rassemblés dans une connivence de plaisir.