Trois sœurs
Présentation
Un hymne à la liberté, l’insouciance et la sensualité
Un hymne à la liberté, l’insouciance et la sensualité
Trois sœurs se retrouvent dans la demeure familiale, ancien bordel du xixe siècle, quelques années après le décès de leurs parents.
Tandis que l’aînée, la sérieuse Clémence, chercheuse au CNRS, se bat à coups de devis et de réparations bringuebalantes pour empêcher la maison de tomber en ruine, Cassandre, ancienne cadre qui joue les dominatrices pour financer sa reconversion professionnelle, envisage la vente.
Mais lorsque Cléo, la cadette, militante féministe prosexe, débarque de Paris, avec sa troupe de performeurs queer, c’est toute la maison qu’elle met en branle !
Entre les relances insistantes d’un agent immobilier, l’apparition d’un ancien amour de jeunesse et la rencontre de deux Suédois ultra-sexy, les trois sœurs ne sauront plus où donner de la tête.
Ou plutôt si : elles suivront leurs désirs plutôt que leur raison et oseront céder aux tentations qui rôdent. Mais le doux marivaudage n’aura qu’un temps : lorsqu’elles découvriront les plans machiavéliques échafaudés par certains pour détruire leur maison, rien n’arrêtera leur soif de vengeance…
INFORMATIONS
Date de parution : 17 avril 2018
Nombre de pages : 256
Format : 13.5 x 2.1 x 18.6
Auteurs : Aude Dite Orium
Prix : 17€
Éditeur : La Musardine
Chronique du Comte de Noirceuil
Première livre que je découvre écrit par Aude Dite Orium. C’est bien écrit et on se laisse mener facilement par l’aventures des trois sœurs. Sur un fond de drame immobilier, on y découvre toute la vie passer d’un village autour de la mère de ces 3 sœurs.
C’est érotique, sexe et drôle par moment. Chacune des sœurs à sa personnalité propre et cela donne lieu a des situations tantôt drôles, coquines etc. Mais voilà, en découvrant les personnages j’ai l’impression de retrouver les même personnages que dans « Sex in the City » d’Octavie DELVAUX. Inspiration ou copie ?
Je ne sais pas…l’intrigue elle aussi n’est qu’un prétexte pour mettre en jeu le tempérament de chacune d’elles mais l’intrigue principale semble « téléphonée » et sans grande surprise. Il n’en est pas moins agréable de lire ce livre mais on aurait aimer plus de profondeur et de psychologie sur les personnages primaires et secondaires aussi.
J’ai apprécié la lecture et je prendrai plaisir à découvrir Ode Dite Orium dans un autre roman.
Pour conclure je dirais que ce livre est sympa mais qu’il manque encore un petit quelque chose pour réussir à nous tenir pleinement en haleine avec un climax plus travaillé et une fin moins prévisible. Peut-être ai-je aussi un problème avec les « happy end » ?