Comte de Noirceuil

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Soumise d'un soir

Un récit du Comte de Noirceuil

C’était une de ces soirées d’entreprise ou les directeurs avaient décidé de nous emmener au restaurant puis de fil en aiguille, l’heure avançant, nous nous étions retrouvés en boite de nuit.

Pas tous et toutes, seulement ceux et celles qui avaient encore un peu d’énergie après une semaine épuisante.

Nous étions une quinzaine, tout au plus. Il était minuit passé et l’alcool aidant, les conversations s’étaient forcément axés sur le sexe.

Les collègues masculins étalaient leurs conquêtes allant même jusqu’à donner des détails intimes de soirées qu’ils avaient passées avec une femme.

Si tenté que tous soient vrais.

Moi, j’observais et ne disais rien. Les conversations d’adolescents du genre me passaient au-dessus de la tête.

Certaines semblaient intriguées et curieuses et relançaient la machine à paroles et à fantasmes de ces messieurs présents.

Ils décidèrent d’aller danser sur la piste, ce que je refusais.

Je restais là, au fond de la table seul.

Enfin, non, je vis que l’une de mes collègues était restée là. C’était Marine.

Elle avait rejoint la boite il y a deux mois et je n’avais jamais eu l’occasion de discuter avec elle.

C’était une très belle jeune femme de 28 ans à la peau mate, métisse avec des cheveux très fins, noirs et mi-longs.

Elle attisait les convoitises de mes collègues masculins et ce soir, sa petite robe de soirée moulante noire ne les avait pas laissés de marbre.

J’avoue que moi-même, j’étais assez charmé de sa présence.

Elle scruta dans ma direction. Nous n’étions plus que tous les deux attablés pendant que les autres se trémoussaient sur la piste.

Je ne dis rien et je la regardais aussi.

– Pas d’anecdotes croustillantes sur l’une de tes conquêtes ? Me lança t’elle.

– Vous semblez presque déçue, vous n’êtes donc pas rassasiée ? Lui répondis-je.

Elle sembla interloquée. Je ne saurais dire si c’était à cause du vouvoiement ou du fait que je ne saute pas sur l’occasion pour la draguer ?

C’était une femme sure de son physique.

– Non j’ai…j’ai ma dose d’histoires cochonnes pour la soirée. Si tenter qu’elles soient vraies…

– Là, je ne peux qu’acquiescer.

– Je vous est déjà croisée plusieurs fois dans la boîte. Mais nous n’avions jamais discuté.

– Oui. Souvent vous étiez avec ces mêmes collègues, souvent en train de rire d’ailleurs.

– Je vois…

Je reprends ma coupe et ne dis plus rien.

L’un des collègues revient prendre une gorgée dans son verre et balance :

– Oh ! Attention Marine ! Tu parles au plus mystérieux de nos collègues !

Puis il repart en dandinant sur la piste. J’esquisse un sourire amusé. Elle me regarde l’air intrigué.

– Qu’a t’il voulut dire par là ?

– C’est à lui qu’il faut poser la question.

– Il est vrai que je n’ai jamais entamé de discussion avec vous dans la boîte. Vous ne dites pas grand-chose.

– C’est juste que l’occasion ne s’était pas présentée.

– Et bien en voici une ! Répond-elle sûre d’elle.

De là commence une discussion des plus banales de personnes faisant connaissance.

On parle de nos postes respectifs, de travail forcément, de nos loisirs, un peu de notre passé, les villes visitées, nos voyages…

Nous accrochons bien intellectuellement. Elle me plaisait bien physiquement, mais je n’envisageais rien. C’est une collègue de travail. Est-ce l’alcool ou la fatigue, mais je décelais des comportements de séduction.

J’essaye de rester courtois et distant, ce qui sembla la frustrer.

Je ne doute pas qu’aucun homme ne doit lui résister et ma distance sembla la mettre au défi de séduire.

Finalement, elle entreprit de partir sur un sujet direct.

– Tu ne m’a pas dit si tu avais quelqu’un dans ta vie ?

– C’est une proposition ?

– Euh…non..Non !

– Pourquoi poser la question alors ?

– simple curiosité.

– Je n’y crois pas vraiment.

– Donc…si ce n’est pas de la curiosité ?

– J’aime les femmes qui disent clairement leurs intentions. On a plus 20 ans.

Elle semblait ravie de voir que la discussion tournait dans cette direction. Ses yeux semblaient empreints de malice tout à coup. Je repris :

– Je ne suis peut-être pas le genre d’homme qui va te proposer une simple soirée de baise. Je ne suis pas fréquentable à ce niveau. De plus, tu semblais ne pas trop apprécier les discussions pleines de promesses de nos amis.

– Ils parlent de baise comme on parle de voitures.

– Et nous ? Nous parlons de quoi au juste ? Lui rétorquais-je.

– Je vous retourne la question. s’empressa t’elle de répondre.

– Si vous répondez à une question par une autre question, la discussion va vite devenir ennuyeuse, et je n’aime pas m’ennuyer. Mais…

– Mais ?

Je me penche à son oreille et lui murmure :

– J’aime qu’une femme me soit soumise, j’aime sentir en elle la frontière entre la crainte, la douleur et le plaisir.

Je n’en dis pas plus et m’adosse de nouveau à la banquette en la regardant dans les yeux.

Elle se recule les yeux écarquillés.

Me jauge en plissant les yeux puis se lève.

Ses joues se sont empourprées.

– La soirée n’a que trop duré. Je vais y aller !. S’empressa t’elle de dire.

Je souris. Je sais que je ne parle pas de cela à n’importe qui.

Je reste silencieux ce qui la perturbe. Je brise ce léger silence.

– Je vous sens mal à l’aise Marine. Dis-je pour la provoquer un peu.

– Du tout ! Il me faut un temps pour..comprendre ?

– Réfléchissez-y ! Lui rétorquais-je en lui tendant une carte.

– Une carte de visite toute noire avec un simple mail ?

– C’est la seule façon de me contacter pour ce sujet.

– Donc… vous vous faites appeler le Comte de Noirceuil ?

J’acquiesce d’un petit mouvement de tête.

– Juste un mail donc ? comtedenoirceuil@hotmail.com ?

Elle répéta le mail à voix haute puis me rendis ma carte en poursuivant :

– J’ai une bonne mémoire, je m’en souviendrai.

– Je n’en doute pas. Tout comme je ne doute pas que s’il vous prend l’envie de me contacter, vous trouverez sur internet les propositions d’usages…

Elle avait un regard perdu, interrogatif, mais curieux…

Elle partit m’offrant la vue de son joli dos et de ses courbes tentatrices.

Le lundi matin, j’arrivais au bureau saluant la pléthore de collègues lézardant devant la machine à café.

Grand rituel de toute société qui se respecte. Ils discutaient de la soirée de vendredi en rigolant et se remémorant quelques moments cocasses.

Mon arrivée provoqua un silence éloquent.

L’un de mes collègues prit la parole comme pour briser toutes les questions en suspend.

– Alors ? La discussion avec Marine vendredi soir ?

– Ta question n’est pas complète. Que veux-tu que je réponde à ça ?

– Je veux dire…Vous avez bien accroché non ?

J’oubliais de préciser que le fait de ne pas parler ouvertement de sa sexualité en milieu professionnel en laissant les gens supposer, imaginer et finalement faire des conclusions sans rien savoir, donne lieu à beaucoup de suppositions, d’enquêtes de leur part et encore aujourd’hui, je les intrigue.

– Nous avons fait connaissance oui. Je ne la connaissais que de vue du coup, ce fut l’occasion de la découvrir.

Je compris à leurs regards qu’ils attendaient que j’en dise plus.

Ma réponse « bateau » sembla plus leur donner matière à réflexion encore…

Ce qui sembla irriter une collègue, Stéphanie, toujours aux allures de directrice dominatrice.

Il va falloir que moi-même je me renseigne d’ailleurs, car, en plus de marine, cette collègue suscite beaucoup d’intérêts auprès de la gente masculine de ces locaux. Bref.

Alors que l’un des mâles ici présents s’apprêtait à me demander ouvertement jusqu’où nous étions allés Marine et moi, son attitude trépignante l’avait déjà trahie, il se stoppa net quand le bruit et les portes de l’ascenseur retentirent derrière moi.

Je compris que Marine venait d’arriver.

L’ouverture des portes avait diffusé son parfum. Je la sentait et la ressentait…

– Bonjour tout le monde ! Dit-elle.

Déjà les yeux de ces messieurs débordaient de désirs salaces tandis que ceux des femmes devaient jalouser ou convoiter, ne sait-on jamais, les formes qu’elles avaient mises en valeur dans ce tailleur très chic au décolleté invitant à mille plaisirs.

Elle avait coupé ses cheveux au carré avec un dégradé montant sur l’arrière.

Ça lui donnait des allures de pin-up des années soixante et mettait sa nuque en valeur. Elle ne laissait rien transparaître de notre conversation du vendredi soir.

Peut-être en avais-je trop dit.

– Vous êtes bien rentré vendredi ? Me demanda t’elle soudainement.

Elle me vouvoie contrairement à vendredi.

– Oui bien merci. Un peu fatigué et abasourdi par la musique. Et vous ? Bien rentrée ?

– Oui. Fatiguée et pourtant j’ai eu du mal à trouver le sommeil.

– Oh ? C’est pénible ça. Il y a des astuces pour trouver le sommeil plus facilement pourtant.

Il nous fallut à tous les deux quelques instants pour réaliser que les autres autour étaient figés.

Ils et elles ne disaient plus rien. Serions-nous en phase de séduction devant tout le monde ?

– Excusez-moi. Elle attrapa son téléphone portable dans son sac et se mit à pianoter sans le mettre à l’oreille.

– Voilà, désolée. Bon je vais attaquer ma journée. A plus tard.

Puis elle tourna les talons, forts jolis d’ailleurs, et se dirigea vers son bureau.

Au même instant mon téléphone annonça un message mail de par la vibration que je ressentis dans le fond de ma poche.

Marine esquissa un bref regard en arrière pour me regarder et un sourire discret embellit ses lèvres.

Le message qu’elle a envoyé m’était destiné.

-Bon, il est 9h05, c’est le moment de commencer le travail !. M’empressais-je de dire.

Sans attendre une réponse de la part du staff autour de la machine à café, je pris la direction de mon bureau, non sans hâte.

Je m’installais sur mon fauteuil et pris mon téléphone pour lire mes mails.

C’était bien un message de Marine.

Elle avait bien travaillé et me présentait une lettre me faisant la proposition d’être ma soumise durant une soirée.

Elle y ajoutait ses limites, suggérait ses envies, ses découvertes, ses appréhensions. Elle avait dû chercher sur internet une « lettre type ».

Je décidais de ne pas y répondre de suite préférant la laisser patienter et, pour moi, de réfléchir à l’organisation.

Midi arrivant, nous nous retrouvâmes au self-service de l’entreprise.

Je ne laissais rien transparaître

 Nous étions six à table et les conversations étaient des plus classiques. Je la voyais impatiente.

L’envie de demander si j’avais bien reçu sa demande mais, je ne disais rien.

Nous reprîmes le chemin de nos bureaux et la journée se passa. Sans rien de plus.

Le soir même, je répondais à son message en spécifiant mes attentes, le lieu, quand sans lui laisser le soin d’évoquer un éventuel report ou quelques excuses que ce soit.

La tenue et ce que j’attendais d’elle.

Le ton était simple, mais sans détour.Je lui exprimais ma compréhension par rapport à ses attentes, ses craintes, et ses tabous.La réponse ne tarda pas.

Était-elle impatiemment devant son écran ? Elle répondit par un “Oui Monsieur”…elle avait déjà compris certaines règles.

Le lendemain au travail, les mêmes rituels devant la machine à café, les mêmes discussions avec les collègues jusqu’à son arrivée.

Les collègues masculins avaient la langue qui touchait presque terre.

Elle était habillée classe, mais plus sexy qu’à l’accoutumée.

Oui, je ne lui avais pas laissé le temps d’y réfléchir, la journée commençait aujourd’hui et elle avait accepté.

Elle portait un robe noire moulante qui faisait plus robe de soirée que tailleur pour venir travailler.

Ses chaussures étaient assorties, noires avec de petites paillettes ressemblant à des diamants, mais surtout, les talons étaient très hauts découvrant ouvertement ses longues jambes bronzées.

Je restais courtoise comme chaque jour sans en dire ou faire ni plus, ni moins.

Seul un léger regard interrogatif de sa part dans ma direction afin de savoir si sa tenue convenait aurait pu nous trahir, mais les mâles autour d’elle, étaient concentrer sur le décolleté, la robe courte et les talons hauts de Marine.

j’acquiesçais discrètement et elle le perçut.
Elle nous salua puis tourna les talons en direction de son bureau.

Les collègues ne rataient pas une miette en la scrutant indécemment de haut en bas. L’un d’eux se tourna vers moi.

– Dis donc, elle doit avoir un rencard ce soir vu la tenue. J’imagine le veinard qui va s’amuser avec !
S’il savait…

– Ça fait un peu pute ! Rétorqua Béa, la comptable sur un ton que je devinais jaloux.

Je ne répondis rien et les salua à mon tour en me dirigeant vers mon bureau.
11h, j’envoie un petit sms à Marine.

Ce midi, nous mangeons tous au self de l’entreprise comme chaque jour.Je lui demande de passer à mon bureau me déposer un petit courrier d’entreprise dans un petit carton comme j’en reçois souvent.

Cette fois, elle y mettra sa culotte ou string, bref, ce qu’elle porte. Je lui dis que ce midi, je veux qu’elle ne porte rien sous sa robe courte.

Soumise d'un soir

5 minutes se sont écoulées et elle arrive.

Rien ne semble la perturber.

Elle dépose le colis et tourne les talons en direction de son bureau. Je l’interromps et lui demande si elle pourrait remettre du papier dans l’imprimante.

Malgré la demande, elle comprend que c’est un ordre.

Je précise que j’imprime à partir du Bac 4, celui d’en bas qui nécessitera forcément qu’elle se penche.

Elle s’exécute en restant debout, ce qui me permet d’admirer ses longues jambes bronzées perchées sur ses talons hauts. J’aime ce spectacle.

Puis elle se penche ce qui fait remonter sa jupe assez facilement vue le peu de tissus.

Elle se tient sur le coté et je n’aperçois que ces hanches, jolies hanches cela dit…mais mon regard se fronce.

Elle pivote de suite et ses fesses apparaissent au premier plan.

Le plexiglas qu’elle semble oublier reflète son visage. Elle se mordille la lèvre inférieure.

La situation ne la laisse pas indifférente.

Très bien, je sens que l’on va pouvoir jouer. Je lui demande de s’approcher.

L’avantage de mon bureau est qu’il n’y a aucun risque d’être vu étant donné qu’il est en plus fermé.

Elle se place à côté de moi le visage baissé.

Je lui demande de se retourner et de découvrir ses fesses.

Elle eut un moment d’hésitation vu le lieu, mais elle obéit. Bon diable !
Quel joli petit cul. Je saisis une règle.

– Se mettre sur le côté devant l’imprimante est une petite faute, mais une faute tout de même.
Je ne lui laisse pas le temps de répondre et je lui claque le plat de la règle sur les fesses.

Elle en lâche sa robe ce qui lui recouvre les fesses.

L’effet de surprise est là.

– Désolé Monsieur – Bredouilla t’elle. Cela ne se reproduira plus.

– J’y compte bien. Maintenant, laissez-moi.

Elle ne se retourna pas et partit dans son bureau.

Midi arriva et je me dirigeais vers le self. Les collègues étaient là.

Certains déjà à table nous entendant et d’autres en train de se servir. Marine se servait aussi assez difficilement. Elle essayait d’attraper certains plats les plus proches afin de ne pas avoir a se pencher de trop.

Cela m’amusait et plaisait beaucoup aux autres qui mataient sans retenue.

Avaient-ils perçu qu’elle ne portait rien ?

 J’espérai que non, car, même si cela faisait partit du jeu, il ne fallait pas que cela nuise à sa situation professionnelle.

J’essayais de détourner leur attention avec des conversations ciblées.

Une fois à table, tout le monde discutait sans prêter attention à Marine.

Le repas fut sans intervention de ma part. Je la laissais réfléchir ou craindre un événement.

A la fin du repas, je lui remis le courrier contenant ses dessous. Sans ouvrir, elle comprit.Nous regagnâmes nos bureaux respectifs.
La fin de journée pointer le bout de son nez et je n’avais rien relancé avec Marine. Il fallait aussi que je travaille et elle aussi.

Toutefois vers 17h30, je lui envoyais un sms lui demandant de se rendre aux toilettes des femmes.

Là, un petit carton discret l’attendait à un endroit précis.

Elle devait passer devant mon bureau pour y aller. Je le vois donc passer devant en jetant un regard complice dans ma direction.

Je dus attendre 10 minutes avant de la voir repasser dans l’autre sens.

Je jubilais sachant ce qu’il venait de se passer.

18h La journée se termine et je sors de mon bureau.

Elle sort à son tour, regarde dans ma direction. Elle a un regard gêner.
Profitant qu’il n’y est encore personne dans le couloir je lui glisse un mot.

– Rendez-vous dans 30 minutes.

– Je serai là Monsieur.

Puis nous prenons des directions différentes pour ne pas éveiller les soupçons de nos collègues.

je guette par la fenêtre de l’hôtel ou je lui ai fixer rendez-vous.

Je reconnais sa voiture qui se gare en bas. Je m’installe dans le fauteuil et je patiente.

Elle n’a plus qu’a donner son nom à l’accueil.

Quelques minutes plus tard, elle pousse la porte. Elle connaît les instructions.

Elle entre et referme derrière elle, se dirige vers moi sans dire un mot et laisse glisser sa robe le long de son corps. Elle est donc nue en talons devant moi et son visage ne laisse paraître aucun signe.

Seule sa respiration s’est accélérée soulevant sa poitrine ferme à la couleur de métissage. Elle a un corps parfait.

Elle me tourne le dos me laissant admirer ses deux globes de chair rebondis et envoûtants. Toujours sans rien dire elle se penche en avant jambes tendues et écarte ses fesses.

L’indécence du geste m’excite. Elle ne dit toujours rien, c’est convenu.
Je vois qu’elle a suivit mes instructions et elle a mis en place le plug anal et l’a gardé jusqu’à ce moment. Je lui demande de ne pas bouger, profitant du spectacle.

J’ai choisi un plug jaune presque fluo juste pour qu’il ressorte bien avec sa peau mate. Je savoure, mais je suis tendue comme jamais.

Elle a joué le jeu jusque-là. Pour une novice, elle commence bien.

Je me lève et reste près d’elle, dans son dos.

De la paume de ma main, j’appuie sur son épaule. Elle comprend et se met à genoux, mais je continue et lui fais prendre la position du visage contre le sol et les fesses bien en l’air.

Je tournoie autour d’elle, admirant ses courbes. Je me régale visuellement de son corps.

Un cadeau de pouvoir en disposer et honoré qu’elle m’ait choisi pour cela.

D’un doigt, je taquine le plug légèrement. Surprise, elle laisse échapper un petit gémissement. Douleur ? Plaisir ?

Je constate que son sexe est humide.

Pas abondement, mais, suffisamment pour comprendre que la situation ne la laisse pas de marbre.

Je saisis une petite cravache et la pose la pointe dans la pliure de son genou et remontant le long de ses cuisses qui frissonnent.

Je décris de petits cercles avec sur ses fesses et la fais descendre le long de sa colonne vertébrale.

Ses yeux se plissent, elle a compris. Le premier petit coup s’abat sur ces fesses la faisant redresser la tête.

Surprise, mais pas trop. Je reprends ma ronde autour de son corps. La seconde fois est plus intense et cette fois, elle pousse un petit souffle.

S’ensuivent d’autres petits coups. Tantôt sur les fesses, tantôt sur l’arrière des cuisses.

Je reste assez léger, ce n’est pas dans ses habitudes et je ne voudrais pas l’en dégoûter. Sa respiration est de plus en plus forte.

Je décide de la relever. Je regarde ces yeux un peu humides. Pleurs de plaisir ou de douleur ?

Mais son regard en dit long. Je la guide par la main à s’installer sur le lit. Toujours à 4 pattes, son cul tourné vers moi.

Je reprends le siège et m’installe afin de profiter de la vue.

– Cette posture est indécente dites-moi. Que penserait votre entourage de vous voir ainsi ?

L’indécence justement qui l’excite.

Cette fois, la fenêtre qui laisse passer un flux de lumière entre ses jambes me renvoie la brillance certaine de son sexe en émoi. L’intérieur de ses cuisses brille.

– Retire-le !

Elle s’exécute en restant en position.Ses doigts serrent le plug et le sort lentement. J’aperçois sa bouche.

Elle se mordille la lèvre inférieure. J’ai une vue imprenable sur son anus dilaté. Je me lève et me place juste derrière elle. Sa respiration s’est accélérée.

Elle attend sans doute que je l’encule, comme ça.

Au lieu de cela, j’enduis son cul d’un lubrifiant pendant que, d’elle même, elle repose sa tête sur le lit, attendant que le prenne.

Elle pousse un petit « oh ! » quand à l’entrée de son cul, je commence à y insérer un plug un peu plus gros. Je l’entends souffler pour se décontracter.

Petit à petit, il disparaît dans son cul dans un petit râle de plaisir.

– N’avez-vous pas honte de vous insérer de telles choses dans le cul ? Lui dis-je.

– Oh si..j’avoue Monsieur. Me répond t’elle.

– Dans ce cas, et comme vous l’aviez stipulé dans votre message, vous disiez que vous aimiez bien provoquer les filles aussi.

Donc je suppose que vous ne verrez pas d’inconvénient à ce qu’une amie voit dans quelle situation vous êtes ?

Je la sens perturbée. Un mélange entre la peur et le désir de ne pas me décevoir mêler a l’envie de la découverte.

– Non…non Monsieur. Balbutia-t-elle.

Elle n’est pas à l’aise. Tant mieux.

À sa surprise encore, je lui mets un bandeau sur les yeux. Sa bouche prend une forme comme pour dire « Mince, je ne vais pas voir ? »

– Voilà qui est mieux ! Dis-je

La porte de la salle de bain de la chambre d’hôtel émet un petit grincement. Ma complice sort. Marine esquisse un petit sourire.

Vous savez, le genre de sourire qui dit « Je me suis fait avoir, elle était déjà là ! »

Ma complice s’approche sans dire un mot.

– Regarde là. N’est-elle pas magnifique avec son cul rempli ? Dis-je à voix haute.

La respiration de Marine est forte. Elle a honte, mais, ne me dupe pas. Son entrejambe la trahit.

Ma complice passe de l’autre coté du lit et se retrouve face au visage de Marine.

Elle lui attrape les cheveux de façon ferme et à la fois sans violence et l’embrasse à pleine bouche.

Marine semble hésiter à lui rendre son baiser. Je décide alors à caresser doucement son sexe. Elle tend son corps vers moi.

L’excitation est plus forte et de ce fait, elle commence à embrasser goulûment la bouche qui lui est offerte.

-As-tu déjà baiser avec une autre femme ? Lui demandais-je.

– Quelques fois Monsieur. Juste des baisers et j’ai léchée une amie qui me l’a rendue. Me répond t’elle.

Ma complice se redresse et dirige la bouche de Marine directement sur son sexe.

Marine ne bronche pas et commence à lécher en y prenant un certain plaisir dirait-on. Je reste derrière Marine et caresse ses fesses et je commence à fesser.

Lentement au début, puis je commence à alterner sur chaque fesse de plus en plus fort, y allant crescendo.

Elle pousse de petits gémissements, mais sa langue fouine littéralement le sexe féminin qui lui est offert. Ses fesses commencent a marquer et Marine lâche un « Plus fort ! »

Je saisis de nouveau la cravache et n’hésite pas à frapper plus fort que les premières fois tout en restant derrière elle pour une raison que je vais expliquer.

Alors que Marine a le visage dégoulinant de cyprine de ma complice, celle-ci se retourne et, le bras en arrière, viens littéralement enfouir le visage de ma soumise d’un soir entre ses fesses.

-Allons, montre à mon amie que tu sais y faire aussi comme ça ! Lui ordonnais-je.

Impossible de faire marche arrière, elle se mit au début à laper puis lécher abondamment l’anus de ma comparse en agrippant ses fesses.

Toujours derrière elle, je me mis à pomper sur le petit embout de caoutchouc.

Le plug que Marine avait dans le cul était un plug gonflable ou j’avais pris soin de ne pas lâcher la pompe pour ne pas qu’elle sente le câble toucher ses jambes.

Elle quitta le cul de sa bouche dans un petit mouvement de stupéfaction et d’incompréhension.

 Je pompais une deuxième fois pour la voir encore faire un « O » avec sa bouche. Elle venait de comprendre.

– Continues ! lui dis-je.

Elle remit sa tête entre les fesses qu’écartait ma complice. Les bruits gutturaux et la salive qui coulait entre les cuisses de mon amie et sur le menton de Marine, étaient d’une beauté perverse.

Je continuais à gonfler le plug dans son cul et ses gémissements interrompaient parfois la tâche qu’il lui était imposé.

Je gonflais trois fois de suite le plug et elle laissa sa tête tombée sur le lit. Elle était rempli, mais mouillait comme une folle.

J’étais moi-même excité de la voir ainsi.

Ma complice fit le tour du lit pour me rejoindre et taquina le plug de Marine en me faisant un signe de la tête pour me faire comprendre qu’elle était enculée comme il se doit.

Elle effleura toute la cyprine qui sortait de Marine et papillonna des yeux en saisissant un lubrifiant.

Elle s’enduit la main entière et commença par entrée trois doigts directement dans le sexe qui luisait devant elle. Je mis le câble du plug sur le côté et fis le tour du lit pour prendre la bouche de Marine.

Elle haletait de plaisir. Je retirais sa bouche de mon sexe en lui demandant :

– Un mot et on arrête.

– Oh non…non répondit-elle presque suppliante.

Elle poussa un petit cri de stupéfaction. Je regarde alors ma complice qui me rendit un sourire.

Elle avait réussi à passer sa main. Je voyais son bras tournoyer et j’entendais Marine essayer de dire quelque chose, mais elle était submergée par les sensations.

Mon amie retira alors sa main, mais n’eut pas le temps de s’écarter qu’elle fût submergée du plaisir de Marine qui venait d’éjaculer ou squirter comme vous le voulez.

– Oh ? Vous venez de souiller, mon amie dis-je. Il va falloir nettoyer tout ça !

Aussitôt, ma complice me rejoint et j’attrape les cheveux de Marine et lui fais lécher ses flux corporels qui avaient inondé le bas ventre de mon amie.

Elle essayait de s’appliquer, mais elle avait encore la tête dans les vapes.

Mon amie se mit alors à quatre pattes juste devant le nez de Marine et écarta les fesses en me fixant.

Elle était encore lubrifiée de la langue de Marine. Je présentai mon gland à l’orée de son cul et entra doucement.

Elle essayait de ne pas dire un mot pour garder le secret, mais elle couinait de façon incontrôlée. Marine tâtait de la langue le sexe de mon amie et comprit que je l’enculais juste devant son nez.

Marine se mit alors à me lécher les testicules qui balançaient devant elle puis d’elle-même, se mit à me lécher le cul. Je donnais de grands coups de reins quand je sentis que je ne pouvais plus tenir.

Je me retirai et me tourna vers Marine en lui ordonnant d’ouvrir la bouche.

Elle reçut tout, et sa ruisselait le long de son cou. Ma complice vient lui donner un baiser langoureux mélangeant tous ces fluides qui s’étalaient sur leurs bouches.

Je demandai à Marine de ne pas bouger. Ma complice partit se nettoyer rapidement dans la salle de bain puis partit. Le bruit de la porte fit bouger Marine. Je décidais de lui retirer son bandeau.

– Elle est partie ? Mais qui était-ce ? Me demanda t’elle.

– Une amie, switch, mais qui aime bien dominer les femmes. Alors cette séance d’un soir ?

– J’ai…j’ai adoré. C’était..Inattendu, mais..j’ai adoré.

– Nous en resterons donc là.

– Pourquoi n’ai-je pu voir votre amie ?

– Seules ses soumises peuvent la voir. Là, il n’en était pas question. Si vous souhaitez la voir et être dans ses séances, il faut demander à devenir l’une de ses soumises. C’est comme ça. C’est ce que vous voudriez ?

Elle ne répond pas de suite comme si tout à coup, elle devenait timide, mais, je le vois bien, elle veut ! Je lui sors alors un contrat. Elle est surprise.

– Il te faut le lire et le signer et là, tu pourras la rencontrer.

Elle se relève et file dans la salle de bain. Je la stoppe dans son élan.

– Le plug ? Tu comptes le garder toute la nuit ? Lui dis-je en rigolant.

– OH là ! Je l’avais oublié ! Me répond t’elle en essayant d’attraper le câble qui ballottait entre ses jambes.

Nous nous mîmes à rire. Elle revint dix minutes plus tard et se mit à fouiller dans son sac à main. Je ne dis rien. Elle tourne le contrat vers elle et signe avec un stylo qu’elle venait de prendre dans ses affaires.

– Tu es sûre ? Lui demandais-je.

Pour toute réponse, elle me fit un clin d’œil et prit le contrat dans son sac.

Nous échangeâmes quelques mots puis nous nous sommes quittés comme si de rien n’était en nous donnant rendez-vous demain au travail.

Le lendemain, le même cérémonial des collègues à la machine à café.

L’entrée de Marine, les regards qui déshabillent. Puis le temps de chacun retrouver son bureau. Cette fois, elle n’était plus soumise.

Retour à la normale. Vers 9h45, Marine se présente à mon bureau.

Elle est courtoise, le visage un peu rouge, mais elle semble heureuse de cette soirée.

En me regardant dans les yeux, elle me tend le contrat pour mon amie en me disant :

– Tu pourras la remettre à ton amie maintenant ?

À cet instant, Marine est un peu gênée.

Stéphanie sa collègue est entrer et saisit le contrat. Stéphanie, celle de la machine à café du début, vous savez.

Un blanc s’installe et Marine instinctivement dit :

– Oh ! Ce n’est pas le dossier ! C’est autre chose ! En essayant de lui enlever des mains.

D’un geste, Stéphanie le sert plus fort et colle son visage presque devant Marine qui est assez surprise et lui dit :

– Je sais ce que sait la brune ! Et Stéphanie s’en va en lui claquant une main aux fesses !

Marine surprise me regarde et comprends au sourire au coin de ma bouche. Sa bouche forme un « O »…

– Eh oui ! Désormais tu es à elle…

Soumise d'un soir - Récit du Comte de Noirceuil

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Comte de Noirceuil
3 années il y a
Répondre à  Colladant

Oh merci de ce commentaire ça fait plaisir vraiment. J’espère que les autres auront le même engouement ! Je manque de temps pour écrire mais je ne désespère pas ! Bienvenue sur notre modeste site !

Colladant
3 années il y a

Super récit qui sait nous tenir en haleine jusqu’à la fin c’est assez rare car en règle générale les recits sont tellement barbants qu’on décroche à mi lecture et ce n’est pas le cas avec ce récit.
Amicalement et sexuellement,
Gilles

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