La soirée ennuyeuse
Un récit de Sukube
Cette soirée commençait à être vraiment barbante !
Marjo m’avait demandé de l’accompagner et voilà qu’elle “m’abandonnait” pour batifoler avec un avocat, madame…Ma main a coupé que c’est un mauvais coup en plus…
Cette réflexion me donna une idée, et je me mis a essayer de deviner qui baise comment.
Passant de personnes en personne, je devinais plusieurs “étoiles de mer”, des femmes “proutprout”chignon tiré a quatre épingles et qui auraient bien besoin d’être prise en levrette comme une chienne pour les décoincer.
Des notables très respectables soumis, aimant être humiliés par des Dames maniant toute sorte de sextoys, mais aussi, un éjaculateur précoce qui se noyait dans les décolletés des demoiselles qui n’attendent que ça, de beaux parleurs que j’imagine très doués de leur langue…
Tout cela devenait trop facile et je décide alors d’aller fumer une cigarette dehors, sur le balcon.
Cette soirée n’avait rien d’exceptionnelle mise à part cette maison avec une vue imprenable sur ce grand parc arboré avec différentes allées menant toutes à une grande fontaine où je me voyais déjà me baigner avec une robe blanche et fine.
Mouillée elle laisserait apparaître toutes mes formes. Et les hommes comme les femmes me regarderaient faire. j’aime l’exhibition…
De mon perchoir je voyais les gens arriver par vague.
Des groupes que je voyais finir en orgie romaine emplie d’alcool, des couples rentrés chez eux si excités qu’ils finiront dans la voiture.
Et là que vois je ?
Un homme seul !
assez grand, approchant les 1.80m, belle présentation, avançant d’un pas décidé. Il sait où il va.
Mais pas si à l’aise que ça a regardé à droite et à gauche comme s’il cherchait quelqu’un. Je préfère l’imaginer marié et espère que personne ne le connait.
Cet homme me fait envie, il dégage ce, je ne sais quoi qui met mes sens sans dessus dessous.
Je me surprends même a essayer de deviner ce qui se cache sous ce pantalon noir…
D’un coup, je me sens observée et pas à l’aise.
Je lève les yeux de son torse où j’imaginais mes ongles dessus.
Et je le vois là, me regardant, sourire en coin !
La honte m’envahit car je vois bien qu’il a compris qu’il me plaît !
Je sens mes joues s’empourprer.
Me sentant idiote, mais en même temps très excitée, j’écrase ma cigarette et rentre me faire servir un verre pour me rafraîchir, car d’un coup j’ai CHAUD!
Savourant ma vodka et surtout essayant de me calmer, ce qui est difficile quand je bois de l’alcool, car il a ce pouvoir sur moi de me rendre très chaude et désinhibée, j’observe Marjo et devine qu’elle passe une excellente soirée.
Je sens alors une main se posée sur ma taille côté gauche.
Je tourne mon visage vers la droite et je vois des yeux bleus et dans un regard sombre, mais envoutant me transpercer.
Cette impression qu’il voit en moi, qu’il devine mes fantasmes les plus sombres.
Et là j’échappe un “oui ?” à moitié étranglé par la sensation de mon bas ventre qui chauffe.
J’observe ses lèvres attendant qu’elles me répondent, mais hélas je ne vois qu’un sourire qui se dessine.
Ce genre de sourire qui vous dit “tu vas prendre cher”, je m’imagine déjà les goûter.
Son parfum vient m’enivrer, dieu qu’il sent bon !
Sa bouche s’entre ouvre et de sa voix suave, il prononce ces mots dont je ne saisis pas le sens “maintenant on joue ?”.
Et quand enfin j’ose lui demander ce que cela veut dire, Monsieur s’en va, me laissant là, face à toutes mes questions.
Que voulait-il dire? Jouer? Jouer à quoi bordel ?
J’ai juste très envie de lui et il le sait et en joue justement.
Je l’observe s’éloigner, se dirigeant vers un groupe de personnes qu’il contourne pour se mettre face à moi. Il entame une conversation, je n’entends plus rien, je ne fais que le regarder, plus rien n’est autour de moi, je me délecte de chacun de ses mouvements.
Il porte son verre à ses lèvres, j’imagine sa langue parcourir mes grandes lèvres qui petit à petit s’écartent pour laisser apparaitre mon clitoris gonflé pour lui…
Je sens alors que mon excitation commence à se faire sentir et je devine que mon string s’humidifie.
D’un coup, je me sens observée et pas à l’aise.
Je lève les yeux de son torse où j’imaginais mes ongles dessus.
Et je le vois là, me regardant, sourire en coin !
La honte m’envahit car je vois bien qu’il a compris qu’il me plaît ! Je sens mes joues s’empourprer.
Me sentant idiote, mais en même temps très excitée, j’écrase ma cigarette et rentre me faire servir un verre pour me rafraîchir, car d’un coup j’ai CHAUD!
Savourant ma vodka et surtout essayant de me calmer, ce qui est difficile quand je bois de l’alcool, car il a ce pouvoir sur moi de me rendre très chaude et désinhibée, j’observe Marjo et devine qu’elle passe une excellente soirée.
Il me regarde tout en continuant de parler avec ses amis. Sous son regard je me sens nue, ma robe ne me sert à rien.
Devine-t-il que je suis complètement trempée et que je ne le désire au fond de moi ? A son sourire, je comprends que oui.
Il parait si tendre, mais si sombre et mâle en même temps, un loup déguisé en agneau. Il me rend folle.
Marjo, vient me tirer de mes pensées et m’amène sur une semblable piste de danse.
“Allez bouge toi! qu’est-ce que tu as ?” je n’arrive même pas lui répondre et cherche du regard le bel inconnu, mais il n’est plus.
Je me laisse alors bercer par la musique qui elle aussi devient sensuelle.
Tout pour me rendre excitée.
La voix de prince sur “cream” fait que je laisse aller mes hanches toujours en pensant à lui parcourant tout mon corps avec ses longs doigts fins.
Quelqu’un me frôle le dos, je pense à Marjo voulant exciter son avocat en montrant nos tendances bisexuelles à toutes les deux.
Mais non, toujours les yeux fermés, ce parfum qui m’est devenu familier vient me chatouiller les narines, il parcoure mon corps jusqu’à ma poitrine qui se tend de plaisir.
Il chuchote à mes oreilles qu’il aime mes courbes et aimerait les dessiner…du bout de ses doigts.
Je n’en peux plus je vais me retourner et lui dire qu’on aille dans un endroit plus tranquille.
Mais l’homme a de nouveau disparu ! Il se joue de moi! Il joue?
C’est ça son jeu?
Je le cherche, mais ne le vois plus.
Il ne s’est pas volatilisé ?
J’espère le voir ré-apparaitre plus loin avec un groupe de gens, mais
personne.
Je regarde alors la porte d’entrée et le vois partir. NON !!
Et on dit que ce sont les femmes les allumeuses ?
Marjo, viens m’annoncer qu’elle est désolée, mais qu’elle va finir la soirée ailleurs en bonne compagnie.
Ben
voyons ! le comble, je me retrouve dans une soirée où je ne voulais pas
venir et en plus seule !
je sens la colère et la frustration monter en
moi. je décide alors d’aller admirer le jardin, ma passion pour les
végétaux et la nature m’a toujours calmé.
Je descends aux rez-de-chaussée et sort, la fraîcheur de la nuit me calme déjà un peu, je me sens dans mon élément.
J’arpente une allée découvrant des arums, du lilas avec leur parfum entêtant, et je m’avance dans l’obscurité.
Les lumières de la maison deviennent de plus en plus lointaines.
Je finis par marcher en passant ma main sur un mur de vieilles pierres d’époque ou le lierre s’y est invité.
L’alcool m’étant un peu monté à la tête, j’avoue que ce mur m’aide à ne pas trébucher.
J’aperçois des roses et me penche pour les sentir.
Leurs doux pétales frôlent ma bouche.
Je relève la tête quand un bruit vient me sortir de mes pensées.
Je n’ai même pas le temps de me dire que cela doit être un rongeur que je suis plaquée à ce mûr qui m’avait aidé tout à l’heure.
Dos contre ce dernier, bras relevés au dessus de ma tête, je le vois là, plongeant ses yeux au fond de mes fantasmes les plus lubriques.
L’une de ses mains lâche mes poignets, mais l’autre me maintient toujours.
De toute façon, je n’ai pas envie ni la force de fuir.
De son index il parcoure mon visage et contourne mes lèvres, je me surprends à lui lécher son doigt.
Il apprécie et rentre ce dernier dans ma bouche que je mets a sucer comme s’il m’offrait son sexe.
Il le descend le long de mon torse pour arriver à ma poitrine qu’il libère. Mes tétons pointent déjà et il se met à les pincer tout doucement puis plus fermement. Empoignant ma poitrine il m’aspire mes tétons, je sens l’orgasme monter et me rappelle le nombre de femmes qui ne connaissent pas cet orgasme-là… Il arrête et regarde dans quel état je suis. Et me demande si je veux toujours jouer. Je lui réponds que je suis son jouet.
Sa main descend sur mon ventre puis plus bas, ma respiration accélère, je sais qu’il va arriver en bas.
Je sens déjà l’intérieur de mes cuisses complètement mouillées et mon pouls au niveau de mon clitoris.
Sa main effleure mon pubis et son sourire pervers réapparait…
Il remonte sa main face à moi et frotte son index à son pouce me faisant comprendre qu’ils étaient mouillés.
Et me refait lécher, je sens mon odeur et mon goût sur ses doigts.
Il vient mêler sa langue à la mienne et partageons ce délice.
Il me retourne et plaque ma poitrine contre le mûr, mes tétons frottent cette paroi froide et un mélange de douleur plaisir m’envahit quand de petits cailloux appuient sur mes seins.
Il relève ma robe et je me cambre afin de lui montrer mon cul. Il passe sa main doucement sur l’une de mes fesses et au moment où j’apprécie cette douce caresse il me claque cette dernière.
J’échappe un petit cri, mais en réclame encore en me cambrant plus, il arrache alors mon string et recommence sur l’autre fesse.
Avec son pied il écarte mes jambes, et glisse sa main sur ma chatte douce et lisse.
Sans prévenir ni aucune douceur il entre en moi deux doigts au fond de moi et commence de longs va et viens. Je ne mets pas longtemps à jouir au vu de l’excitation.
Je me sentais esclave et à la fois chienne! Baise moi lui réclamais-je !!
Je ne sais si tu le mérites, fut sa réponse.
M’agrippant par les cheveux il me mit à genoux, à ses pieds.
De moi-même je me mis à lécher son pantalon sentant son sexe durcir au moindre coup de langue.
Suce-moi ! Je sortis vite son sexe avec du mal, car il avait une très belle érection et j’étais fière d’en être la cause.
Je me mis à laper ce sexe de tout son long.
Puis il se mit au fond de ma bouche faisant disparaitre sa queue au fond de ma gorge, me faisant faire des va et viens.
Il me baisait considérablement la bouche et j’en étais encore plus excitée.
Ma main descendit. Je me doigtais là devant lui en même temps.
Il finit par me prendre la tête pour encore mieux me baiser la bouche, puis ralentissait en passant sa belle bite sur mes lèvres, quand il aperçut que je me caressais, il me releva et me dis qu’il ne m’avait pas autorisé à faire cela, que j’allais devoir payer.
Me retournant encore en agrippant mes cheveux il me fit cambrer comme jamais, une salope offerte a son maître.
Il rentra en moi sans aucun souci et toujours aussi profond.
Il me prenait fort et je sentis vite mes fesses rougir à chacune de ses fessées.
L’un de ses doigts venant chatouiller mon anus, il ne mit pas longtemps à le rentrer.
Il me prit de plus en plus fort encore je ne croyais pas que ce fût possible, je ne comptais même plus les orgasmes.
Ses mains venant tantôt s’agripper à mes hanches qu’à mes seins.
Mon sexe devient de plus en plus brûlant. Je n’en peux plus, mes jambes tremblent.
C’est alors que ses va et viens s’arrêtèrent.
Il m’embrasse goulument, me met à genoux, prend son sexe en main et vient lâcher sa semence dans ma bouche et sur mon visage.
Il coule le long de ma gorge et j’aime ça !
Je récupère chaque goutte tombée sur ma poitrine ou visage pour les lécher.
Il passe son sexe sur mes lèvres que je finis par nettoyer de ma langue.
Se penchant vers moi, il me tend une clef numérotée et estampillée de l’icône d’un hôtel ; “demain 19h nue et yeux bandés”; et s’en va me laissant là souillée de son plaisir.
Je le regarde s’éloigner et me sens de nouveau excitée au vu de l’humiliation que je vis et me refais jouir une dernière fois..
Demain je serais tienne…