Comte de Noirceuil

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Du virtuel au réel

Un récit du Comte de Noirceuil

Nous étions un samedi matin de printemps, j’étais occupé à remettre à jour pas mal de choses sur mon site.

Des bricoles qui me prenaient un temps fou.

Il faisait pourtant beau dehors et j’étais seul à la maison.

J’aurai pu en profiter pour faire des choses plus distrayantes.

Ce n’est pas que je n’aime pas m’occuper du site, mais parfois, je préférerai écrire ou dessiner pour moi ou pour le site justement plutôt que de gérer la partie technique.

Il fallait que je mette un nouvel article en ligne. Il était écrit par une sexblogeuse qui intervient parfois sur le site.

Cela m’aide à avoir des choses nouvelles et en plus, j’avoue me rincer l’œil quand elle m’envoie les photos allant avec l’article.

Mince ! Les photos !

J’envoie un message sur le messenger pour lui demander de me les envoyer.

Je n’attends pas 5mn qu’elle me renvoie les photos. Elle les avait préparées.

Comme d’habitude, les photos la mettaient en valeur dans une lingerie qui, même si elle était belle, on avait envie de découvrir ce qui se cache dessous.

– Elles sont superbes ces photos ! Lui dis-je.

– Ça va ? Elles te conviennent ?

– C’est parfait. Soft, glamour

– Oui, je n’allais pas faire du hard là-dessus. Me rétorque-t-elle.

ah je me doute que tu dois en avoir, mais pas sur cet article.

Pourquoi j’ai dit ça ?

Tu veux que je t’en envoie une hard ?

Ne réponds pas, ne réponds pas !

– Ce serait avec plaisir !

J’ai répondu.

Je reçois une photo un peu plus osée sans pour autant être dans le hard absolu.

Elle a une poitrine magnifique et des fesses que l’on a envie de croquer, fesser ou que sais-je.

Alors ? Ça te va comme photo ? Coquin ! Celle-là, tu ne la mets pas sur le site hein ?

Non promis, je la garde en cadeau ! La rassurais-je

Pendant ce laps de temps, je visitais son site ou y y avait pas mal de photos d’elle et même des vidéos dignes de porno.

J’étais excité à tel point que je ne pus m’empêcher de me masturber.

En général, je suis moins sensible à la vue des seins, mais, allez savoir pourquoi, les siens m’ont mis dans un état d’excitation.

Dimanche matin. Je me réveille, le sexe tendu.

Je viens de faire un rêve érotique pour ne pas dire porno dans les images.

J’ai rêvé que je la rencontrais et que cela dérapait.

Les images sont encore fraîches dans ma tête a-t-elle point que je décide de me masturber pour calmer cette excitation.

Dans la journée, avec amusement, je lui dis que j’ai fais un rêve ou elle était là.

Ses réponses étaient amusées. C’était gentillet comme conversation. Elle me dit :

– Il faudrait que tu me racontes ce rêve.

Je lui donne quelques légers détails sans en dire trop.

Je dis que oui, mais…c’est pas évident. Pas comme ça.

La semaine se passe. Travail, vie, etc…rien de bien palpitant.

Le samedi suivant, message sur le Messenger.

Ce serait bien qu’on aille boire un verre en centre-ville. On devrait parler du site, j’ai quelques idées. Disait le message.

J’avais zappé que nous étions dans la même ville. Sérieusement.

Oui on peut en centre-ville. Lui répondis-je.

Attention, en général je ne rencontre pas. Là, c’est juste pour parler du site ,qu’il n’y est pas méprise sur mes intentions ok ?

Euh oui, il ne saurait en être autrement pour moi aussi.

Elle acquiesce et nous quittons là la conversation.

Je retourne vaquer à mes occupations du moment jusqu’à l’heure du rendez-vous .

Effectivement, je rencontre rarement les personnes du web, mais je sais qu’il n’y aura aucun souci avec elle. Il n’y a aucun sous-entendu.

Mes petits secrets restent mes petits secrets.

Nous nous retrouvons au restaurant « Les américains » près de la Place Wilson. J’avoue que je suis un peu intimidé. Elle m’attend déjà à une table avec un verre.

Quand elle se lève en me voyant, je remarque qu’elle a mis une jolie robe simple, mais moulante.

Mince ! Il fallait s’habiller ? Sa poitrine attire de suite mon regard. Je relève la tête presque instantanément en espérant qu’elle n’a rien vu.

Apparemment, elle n’a rien vu.

Elle est aussi jolie que sur son site, mais que là, je peux mettre un visage sur ce pseudo.

Du virtuel au réel

On s’installe et elle prends un cocktail. J’essaye tant bien que mal de ne pas me plonger dans son décolleté.

Je lui dis que je suis ravi de la rencontrer en vrai, même si je suis vraiment intimidé. Je suis comme ça. Elle me dit qu’elle aussi est ravie.

Nous faisons connaissance en nous posant les questions d’usage.

Sur certaines questions, elle préfère rester discrète. Je la comprends.

Après tout, on se connaît vraiment que depuis peu. Nous commençons à discuter du site, de la technique et pas mal de choses qui seraient ennuyeuses dans cette histoire.

Le temps passe très vite et cela doit faire au moins une heure et quart que nous discutons de virtuel.

Bon, on va arrêter de parler de site, etc sinon on va avoir la tête qui explose ! Surtout moi ! Lui dis-je.

Et oui, mais pour causer de choses personnelles, comme je te l’ai dit, je préfère rester discrète.

Je comprends tout à fait. J’acquiesce.

Par contre toi ? Tu devais me raconter le rêve que tu avais fait me concernant non ?

Oh ! Je l’avais oublié et paf ! Elle me dit ça comme ça. Pas d’échappatoire. Je suis pris au piège. Je crois que j’ai dû rougir d’un coup, car elle se met à rire gentiment.

ah ? Euh…là comme ça ? Mais là ça entre plus dans du cadre professionnel ?

Cadre professionnel si on veut bien entendu.

Et bien si ! On a chacun des sites qui parlent de sexualité. Cela reste dans le cadre.

Merde, je suis vraiment piégé. Je me ressaisis.

Et bien écoute c’est amusant parce que justement, cela ressemble à ce qui se passe actuellement. Nous étions comme ici, à discuter. Là, tu m’as demandé ce que j’ai fait quand tu m’as envoyer la photo, tu sais celle que tu m’as envoyée la semaine dernière ? J’ai imaginé cette rencontre.

mais encore ? Dit-elle.

Ok. Je vais expliquer clairement sans détour. Durant notre rencontre, j’ai imaginé tes seins…

Comme tu les as regardés en arrivant ? Me coupe-t-elle.

Euh..Oui, mais si tu m’arrêtes, je ne pourrais pas expliquer. Ce n’est déjà pas simple.

Quand j’ai fait ce rêve, tu m’emmenais dans les toilettes du restaurant pour me les montrer et…je me suis simplement masturbé devant toi qui t’exhibais.

C’est tout ? répond-elle.

Les images dans ma tête parlent mieux. Je ne trouve que ça à lui répondre sur le moment.

C’est là que ça à dérapé. Elle se lève et se dirige vers les toilettes. Avant de passer la porte, elle me jette un regard qui en dit long.

Dans ma tête, ça bouillonne. Y aller ?, céder ? Que faire ?.

L’idée que mon rêve soit possible. C’est peut-être pour me tester ?

Je me lève à mon tour et je descends l’étage qui me mène aux toilettes. Je scrute à droite et à gauche.

Une porte des toilettes des femmes s’entre ouvre. Elle est là, sourire aux lèvres. Elle attend.

J’avance d’un pas incertain, je l’avoue.

À peine entrée, elle referme la porte avec le verrou sans un mot. Elle se place à genoux et sort sa poitrine de la robe.

Tu attends quoi ? Sors-la, et branle-toi !

Je suis déjà excité. Je sors mon sexe alors qu’elle me regarde dans les yeux ses seins à pleine main qu’elles frottent sur mon sexe.

Ma respiration est forte.

Elle englobe mon sexe entre ces deux formes généreuses et me branle avec. J’ai du mal à croire ce que je vis.

– Ne t’enflammes pas hein ? Pas de pénétration. Glisse-t-elle.

Oooh ok… J’ai du mal à parler tant je suis excité.

Elle s’interrompt.

Je ne sais plus ? Dans ton rêve, tu jouis sur mes seins ou sur mes fesses ?

Je jouis sur ton petit trou.

J’ai même plus cherché à réfléchir. L’excitation à fait que j’ai dit ça sans honte même si je sais qu’elle connaissait déjà la réponse à sa question.

Elle se relève et me tourne le dos en remontant sa robe sur ses hanches.

Elle descend sa culotte au niveau de ses genoux et s’écarte les fesses. J’ai une vue directe sur son petit trou tout lisse.

Je m’approche le sexe tendu.

– Sage hein ? balance-t-elle.

– Sage !

Je frotte mon sexe de haut en bas sur son anus tout chaud. Je l’entends respirer fort et je vois son sexe humide. L’excitation est là pour tous les deux.

Je cale mon gland à l’entrée de son cul jusqu’à en ressentir les sillons et je me branle furieusement.

Plus rien n’existe autour de moi.

Il pourrait y avoir quelqu’un derrière la porte que je m’en foutrais royalement.

Vas-y! Je sais que tu n’en peux plus ! Je sens ta bite toute chaude sur mon petit trou !

Je sens une vague me submerger et j’enduis littéralement son trou en râlant comme un âne !

J’entends ses « ooOOoh !

Dis donc ? Tu étais chargé à bloc. Dit-elle en me regardant par dessus son épaule.

Elle reste tournée et remonte sa culotte.

Je vais garder ça au chaud !

Quelle perversion ! J’adore ! Elle remet sa robe en place. Je reste là, debout adossé à la porte, la tête dans les vapes.

ça te fera une histoire à raconter sur le site. Finit-elle en me faisant un clin d’oeil.

Elle passe devant et me demande d’attendre 2mn avant de monter.

Quand je remonte, je croise le regard du patron interrogateur même s’il devine.

Je règle les consommations et je sors. Elle est déjà partie.

Nous discutons sur internet encore, mais jamais nous n’évoquons cette histoire.

Cela fait partie des secrets du virtuel au réel.

Du virtuel au réel - Récit du Comte de Noirceuil

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