Comte de Noirceuil

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Défis en cascade (Part II)

Un récit du Comte de Noirceuil

Une semaine se passa tranquillement. J’avais toujours en tête la proposition de « L » et j’y réfléchissais tout de même. C’était plein de contraintes, mais mon esprit joueur devait les détourner. Elle avait lancé l’idée et savait que mon esprit ne trouverait pas de répit tant que je n’aurais pas trouvé les idées adéquates. Bon, en y regardant de plus près, la semaine ne fut pas si tranquille dans ma tête.

Le samedi matin, je reçus un mail de « L ». Elle voulait passer lundi matin. Devais-je prendre ça comme le premier test à réaliser pour savoir si j’avais le niveau de jeu nécessaire pour poursuivre ?

Très bien ! Je répondis au mail en lui disant qu’elle pouvait passer, je suis là lundi matin. 9H00. Je lui ajoutais qu’elle devait venir en robe courte. Comme ça, elle savait que j’avais déjà prévu des choses et ça lui donnera le temps d’y cogiter à son tour durant le week-end. Il se passa 10 bonnes minutes quand je reçus un SMS en guise de réponse.

« Dois-je mettre une culotte en dessous ? »

Vous pouvez bien que ce sera plus simple sans. Lui répondis-je.

J’employais le vouvoiement volontairement pour lui faire comprendre que, même si nous sommes amis, le jeu avait commencé et elle me répondit sur le même ton.

– Bien Monsieur. À lundi.

Nous en restions sur nos échanges durant le week-end.

Le lundi matin, je vis sa voiture noire se garer en bas de chez moi. Elle me vit à la fenêtre et en profita pour descendre d’une façon tout à fait inconvenable. La portière s’ouvrit et elle glissa ses jambes à l’extérieur en prenant soin que je puisse voir qu’elle ne portait rien sous sa mini-jupe. Elle avait un regard amusé. Elle portait de jolis escarpins qui accentuaient la longueur de ses jambes. Elle était terriblement sexy sans sombrer dans le vulgaire. J’avoue que j’étais déjà émoustillée de la voir ainsi. Ce que je ne manquais de lui dire une fois sur le pas de ma porte. Elle passa devant moi pour gravir les marches. Bien entendu, elle jouait déjà beaucoup à ce moment-là et elle trémoussait son joli petit cul à peine dissimulé juste devant moi en dessous qui la suivait en imaginant déjà la suite des événements.

Comme si de rien n’était, nous nous installons à table et je lui propose un thé. Nous discutons de tout et de rien. Je voyais qu’elle trépignait de savoir quel serait le programme. Je lui :

– Aller, on sort !

– Là ?

– Oui, on prend ta voiture et on va se boire un autre thé en centre-ville.

Elle ne dit rien sur le moment, mais je voyais son regard interrogatif. Je jubilais.

Nous montâmes dans sa voiture et je lui indiquais la route. Nous nous sommes arrêtés non loin du centre-ville et faisions le reste à pied pour aller sur la place Wilson. Installés sur la terrasse d’un café qui a l’avantage de ne pas être directement dans la rue, nous prîmes un autre thé.

– Alors c’est là que tout commence ? Me demande-t-elle.

– Oui, tends-moi ta main.

Elle marqua un temps d’arrêt puis me tendit sa main. Je lui fît tendre son majeur et y déposa une noisette de crème en me penchant en avant pour lui chuchoter :

– Pose cette crème sur ton clitoris maintenant.

Elle me lança un regard surpris et défiant comme si la facilité la décevait. Elle jeta un œil discret autour d’elle et je vis sa main se glisser en dessous de la table. Très rapidement, elle reposa ses coudes au-dessus de la table.

– C’est tout ? me dit-elle.

Nous fûmes interrompus par le serveur venu prendre nos commandes. Je regarde « L » et lui demande si elle veut prendre un thé. Je la fixe dans les yeux et je vois qu’elle a les pommettes qui rougissent. J’esquisse un petit sourire en coin afin qu’elle le voie.

– Oui un thé ! dit-elle rapidement.

– Tu préfères quel parfum ?

Je faisais exprès de la faire parler en présence du serveur.

– Peu importe ! s’empresse-t-elle de dire.

Le serveur repart en ayant pris nos commandes. Instantanément, « L » se penche vers moi :

– Qu’est-ce que c’est ?

– Un sachet avec de l’eau chaude rien de plus… j’ironisais.

– Arrête, ce que tu m’as fait mettre sur…

Elle s’arrêta et sembla essayer de reprendre son souffle. Je plongeai mes yeux dans les siens comme pour lui dire « tu croyais que ça allait être si simple ».

– Oh la vache ! J’ai le clito en feu…espèce de pervers ! Je suis excitée comme une folle ! Qu’est-ce que c’est ?

– Comme tu le sais, sur mon site je fais des tests et j’ai la chance d’avoir une crème qui se nomme « le gel d’excitation féminine » dont tu en testes les effets à l’instant.

– Beh merde ! c’est horrible d’être titillé comme ça sans pouvoir ne rien faire.

– Tu voulais me tester sur mes idées ? En voilà une. On va boire notre thé tranquillement pendant que je te regarderai rougir et essayer de trémousser tes fesses à cause de l’excitation. Après, on ira marcher un peu…juste pour se promener.

– T’es vraiment un pervers ! Me lâche-t-elle.

– Tu en doutais ? Mais ? Ce n’est pas pour ça que m’as demandé d’ailleurs ? Hum ?

– Ok ok…faut que j’aille aux toilettes.

– Interdiction.

-Mais non !

– Mais si…pas de triche sinon tout s’arrête.

– Tu ne peux pas me laisser comme ça.

– Interdiction de se toucher. C’est la règle que tu as mise en avant.

Temps d’arrêt. Elle s’assoit de nouveau. J’adore la regarder rougir et essayer de remuer des reins pour se frotter sur la chaise.

– Cette crème est efficace n’est-ce pas ? lui demandais-je.

– Oh oui…(souffle ) et…elle agit longtemps ?

– Suffisamment oui.

Nous prîmes notre thé qu’elle but très rapidement d’ailleurs. Nous avons pris la grande avenue à droite du café qui remontait jusqu’au Monument aux Morts. Je lui demandais de marcher devant moi. Sa démarche n’était pas aussi souple. Elle essayait de croiser les jambes pour calmer la pulsion provoquée par la crème. Je me mets à côté d’elle et je lui fais part du fait que j’ai quelques achats à faire pour mon travail. Je lui montre de l’autre coté de l’avenue, une grande boutique de matériel artistique.

– À je vois ! Tu veux faire durer la sentence ! me dit-elle.

Je ne réponds même pas. Elle a bien compris que ma requête était plus un ordre qu’autre chose. Je le seconde à l’entrée du magasin spécialisé.

– Je te laisse faire un tour le temps que je trouve ce dont j’ai besoin. Lui dis-je.

– Je n’y connais rien en matière de matos artistique donc…

Je lui souris et observe les vendeurs qui la regardent dans sa mini-jupe. Ils ont les yeux pleins d’envies et s’ils savaient comme elle l’est elle aussi à ce moment précis. Je connais les effets de cette crème et ils sont terribles. Comme si les envies n’étaient pas loin d’exploser. En tout cas, c’est ce que m’a dit ma femme qui l’a testé.

Je m’agenouille devant une étagère et je l’appelle. Elle arrive toujours le visage rouge et soufflant discrètement.

– Qu’est-ce qu’il y a ? Me demande-t-elle.

– J’ai besoin d’un feutre à peinture noire pour du « remplissage »…

– Ah ouais..Et ?

Elle me répondait clairement de façon à me montrer qu’elle n’en avait rien à faire. Je rigolais en la regardant ce qui lui fit avoir un regard de feu. Elle ne tenait plus.

– À ton avis pour du remplissage, lequel je devrais prendre ? Le fin pour les détails ou le gros genre marker en plus large pour aller plus vite ?

Ma question était orientée, mais, prise par le feu qu’elle avait entre les jambes, elle ne réfléchit pas.

– Prends le plus large !

– Sûre ? Agenouille-toi et regarde-les bien. À ton avis ?

– Oui, prends le large !

Elle était pressée que cela se finisse. Je sortis alors un flacon de savon hydroalcoolique et je commence à nettoyer le Posca. Ses yeux s’ouvrirent d’un coup.

– Ah non !

– Le plus large tu disais ? Il est cher, il va falloir que tu me le prennes sans te faire prendre.

– Tu ne vas pas oser ? M’interroge-t-elle.

– Tu n’as pas de culotte, on est dans un recoin sans caméras et tu n’as pas de poches. Ne réfléchis pas. Fais-le.

Prise de panique, elle saisit le Posca qui faisait 2cm de large sur 14cm de long, et le glissa sous sa robe.

– Dedans. Dis-je simplement.

Elle ne dit rien et me fixa dans les yeux en soufflant. Elle le rentrait entièrement dans son sexe.

– Maintenant, ne le fait pas tomber hein ? Rigolais-je.

Nous nous relevâmes et je passais en caisse pour acheter en plus une babiole puis, une fois cela fait, nous passâmes les portillons automatiques qui n’avaient pas sonné. Une fois dehors…

– T’es un grand malade toi, tu sais ? Me lance-t-elle.

– C’est un peu pour ça que tu m’as missionnée non ?

– Ok…on file à la voiture que je puisse l’enlever.

– En fait non. Lui répondis-je.

Surprise, elle me regarda la tête de travers.

– Continuons à avancer vers la voiture. La suite chère amie, est que vous allez le garder en vous jusqu’à chez vous. Là seulement vous pourrez le retirer, mais…

– Mais quoi encore ?

– Vous allez devoir faire ça en vous enregistrant que je puisse voir que vous avez respecté la règle ?

– Espèce de voyeur !

– Vous le saviez. Je veux donc qu’une fois arriver, vous preniez votre téléphone ou quoi que ce soit d’autre et que vous enregistriez ce moment. Et comme la crème vous a bien chauffé, profitez-en pour vous faire plaisir que je puisse le voir…à défaut de pouvoir toucher. Inutile que j’ajoute que cela fait parti de notre contrat.

– Ah oui, ça commence fort donc ! me réplique-t-elle.

– Ce n’est que le début.

Nous arrivâmes à la voiture. Puis elle me redéposa chez moi. Son au revoir fut expéditif. La frustration, l’excitation, la colère peut-être ? La reverrais-je ? Avais-je été trop loin pour elle ?

Une fois la porte de chez moi passée, je soufflais. J’avais tout fait pour cacher mon excitation aussi. Je ne pris pas le temps de me faire plaisir. J’attendais la suite. Osera-t-elle ? Je vaquais à mes occupations quand une heure et demie après, je reçus un mail de « L ». Il n’y avait aucun texte dans ce mail, juste un fichier vidéo joint. A-t-elle osé ou est-ce une vidéo pour me dire qu’elle arrête ? J’ai eu ce doute une cour instant, mais, excité à l’idée, j’ouvris la vidéo.

Elle commencer par l’ajustement de son téléphone devant le canapé sur lequel, elle s’assoie et dit :

– Donc j’ai respecté le contrat jusque là. Et voici donc la preuve que je tiendrai jusqu’au bout.

Elle remonte sa mini-jupe sur ses cuisses découvrant son sexe entièrement épilé puis bascule ses haches en avant pour pouvoir mieux sortir le Posca de son sexe sans aucun mal. La luminosité est faible, mais suffisamment claire pour que je ne rate rien et surtout, le Posca qui luit de l’excitation de « L ».

Il est dégoulinant et en le retirant, je vois son visage empreint de désir.

Elle ne tarde pas à se basculer en avant en mettant son sexe devant le téléphone et sa main commence frénétiquement à bousculer son clitoris de droite à gauche. J’aperçois des gouttes jaillir d’entre ses doigts tant elle est humide.

Il ne lui faudra pas trois minutes pour que je l’entende gémir et jouir dans un râle libérateur. Je suis tendue comme pas possible et ne peux me retenir de sortir mon sexe pour me masturber devant ce spectacle.

Je me cacherai bien de lui dire par la suite.

La vidéo se termine alors qu’elle saisit son téléphone et l’amène près de son visage ou ses yeux à mi-clos me font dire qu’elle à prit du plaisir.

– Et voilà, j’ai aimé ce petit défi et il me tarde de faire le prochain ! dit-elle avant de couper.

Elle attend la suite. Les dès sont jetés !

À suivre…

Défis en cascade - 2eme partie - Récit du Comte de Noirceuil

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