Coffret Love-Toy

Le milieu de l’après-midi s’est installé et tout au long de la journée, j’avais rappelé à Tania que ce soir nous avions une séance de tests. Elle avait bien compris que nous testerions le coffret.

À ce moment précis, les activités du quotidien étaient prioritaires. Aller faire les courses un samedi n’a rien de particulièrement glamour. J’en profitais donc pour commencer les hostilités en sortant les boules de Geisha du coffret. Les yeux écarquillés, mais un sourire en coin, elle accepte de les porter le temps de cette banale sortie.

Le ton était donné. Quand elle sort de la salle de bain, je lui demande les premières sensations. Chou blanc ! Rien de particulier à signaler me répond-telle puis elle file dans la voiture.

Durant son absence, j’en profite pour regarder attentivement le contenu du coffret afin d’organiser les festivités du soir et de définir ce qu’elle osera, aimera ou non.

À son retour, je lui lance un regard interrogateur. Malheureusement, les boules de Geisha n’ont eu aucun effet, me dit-elle en s’excusant.

Mince ! J’espérais qu’une excitation même infime lance nos jeux pour la soirée. Tant pis. J’attends patiemment l’heure ou nous nous retrouverons.

Pour tester dignement ce coffret, j’organise une soirée comme il se doit. L’ambiance aux bougies est de mise et le fond musical au piano résonne délicatement dans la pièce à coucher.

Les préparatifs terminés, je l’invite à entrer. Elle est maquillée et vêtue de bas résille avec des talons hauts et un string très échancré,un corset en simili cuir et dans gants longs de la même matière .

Elle scrute la pièce et semble ravie. Ses yeux pétillent de curiosité et d’interrogations. Je lui demande une dernière fois si elle est prête. Ce qui comprend le sous-entendu d’être dominé ce soir.

Sa poitrine dressée par les frissons, dus sans doute au léger vent ou par l’excitation à moins que ce ne soit par la crainte, elle acquiesce par un petit oui timide.

Je lui demande de ne pas bouger et place le loup en imitation cuir. Il est assez large, mais donne bien le ton pour le reste de la soirée. Je poursuis en lui demandant de mettre ses mains dans le dos et je l’attache avec les menottes en imitation cuir reliées par un petit mousqueton comme celui de certains porte-clés.

Une fois attachée, je place un petit baiser sur son épaule. Je l’aperçois qui se mordille les lèvres.

Sa peau frissonne et je sais cette fois que ce n’est pas un frisson ne dût, à une

fraîcheur imaginaire. Je lui demande de rester debout, de se tenir droite les jambes légèrement écartées. Je recule et je la regarde ainsi.

Elle est belle. Je tourne autour et régale mon regard de la voir ainsi. Ses petits mouvements de tête pour savoir pourquoi je tourne et où je suis.

Elle sursaute en sentant la caresse de la plume de la tapette sur l’intérieur de ses cuisses…l’avantage de cette tapette est qu’elle a deux côtés. Ce petit plumeau doux pour titiller mais aussi un embout « tapette » en forme de cœur en imitation cuir.

Et c’est celui-ci qui lui arrache un petit cri de surprise et de légère douleur quand il claque gentiment sur ces fesses. Elle commence un mot, mais je l’interromps. Chuuut !…La règle est simple.

Pas un mot… Je suis face à elle désormais et je caresse son corps avec le plumeau en lui demandant de se tenir droite et d’écarter les jambes comme au départ. Je claque de nouveau la tapette sur ses hanches.

Cette fois elle obéit et « essaye » de ne pas bouger. Sa peau rougit…je la contourne de nouveau pour claquer ses fesses.

Cette fois, je laisse moins de temps entre es claquements et alterne avec le plumeau sur le haut du dos. Je sais qu’en général, les chatouillis l’auraient fait se tortiller, mais les claquements annihilent son assurance.

Elle a compris que l’on jouait sérieusement.

Alors que je caresse son corps avec le plumeau, je glisse une main entre ses cuisses et caresse son sexe au travers du string très doux. Je sens son souffle qui s’est accéléré…

– Alors comme ça, les boules n’ont eu aucun effet ?

– Non…

– Non qui ?

– Non Maître…

Je décèle un léger sourire. Elle n’a pas encore l’habitude de ces jeux. Mes doigts sont maintenant dans son intimité et je sens que cela n’est pas sans effet. Je la sens bouger, mais je lui rappelle l’interdiction de bouger.

Je décide de me placer devant elle la laissant là, en état d’excitation. Je la préviens de ne pas bouger et j’entreprends de lui caresser les seins. Sa respiration s’accélère et elle lutte pour ne pas bouger. J’aime ça.

La voir lutter. Je pince délicatement le bout de ses tétons. Je sens que c’est difficile pour elle de rester en place, mais je la préviens de ne pas m’empêcher. J’utilise les pinces à seins du coffret.

– Non non ! Ça, je veux pas !

– Interdiction de bouger.

Elle souffle fort pour se retenir. C’est la première fois que nous utilisons ce genre d’article. L’excitation a rendu ses seins très sensibles, mais elle arrive à se maîtriser. Je sens que ses jambes tremblotent et je lui autorise à se mettre à genoux sur le lit qui est haut.

Je lui appuie sur les épaules pour qu’elle soit les fesses en l’air. Je sens qu’elle résiste et ne veut pas être dans cette position indécente, mais moi, c’est ce qui me plaît. La poussée a continué, à se dépasser.

– Salaud !

La position lui met les fesses en l’air. J’aime ça. J’aime ses fesses.

– Comment ? Je claque la tapette un peu plus fort sur sa croupe ce qui lui arrache un petit cri !

– OK ok rien !

– Mais ? Vas-tu te taires  ?… Et je reclaque sur ses fesses ! Il manque un bâillon dans ce coffret afin que tu ne puisses contester !

Elle ne dit rien et sourit. J’en prends note pour plus tard le coup du bâillon.

Je saisis l’œuf vibrant et le place dans son string, entre les lèvres et juste sur le Clitoris et déploie le fil jusqu’à le placer devant son visage.

Je me place maintenant devant-elle sur le lit, les jambes de part et d’autre de son corps de sorte qu’elle est le visage devant mon pantalon et je lui demande de l’ouvrir.

Elle tâte et constate que je ne suis pas indifférent à la séance. Elle sort mon sexe tendu qui est déjà orné de l’anneau vibrant et le met en marche. Je reprends la télécommande de l’œuf entre la main.

Tania s’applique à me sucer alors que par moment, sa bouche s’interrompt quand je mets l’œuf en marche brièvement. Des petits cris s’échappent de sa bouche encore emplie de mon sexe.

Je décide d’interrompre ce plaisir et je me relève en lui demandant de garder la position. Je passe le fil de l’œuf derrière elle.

J’ai donc en premier plan son cul que je caresse d’une main pendant que je fais vibrer l’œuf. Je me régale à la vue des contractions. J’écarte le string pour dévoiler tous ses orifices.

J’entends qu’elle se plaint de façon un peu étouffée…je sais que ça la dérange, mais peu m’importe. J’explore son sexe qui, malgré les plaintes, me prouve par son humidité que le plaisir est au rendez-vous.

Je dépose des baisers sur ses fesses qui frissonnent tant par mes caresses que par celles de l’oeuf. Mes baisers deviennent insistants et ma lape son intimité et son cul.

Surprise au début, les râles qui émanent par la suite la dispose a prendre le plaisir tel qu’il est. Je lèche goulûment son cul et saisis le petit plug du coffret.

Je le fais glisser entre ses fesses humides et elle comprend. Elle se mord les lèvres, mais ne dit rien. Je présente le plug et l’enfonce doucement jusqu’à la première limite.

Une boule fine, juste pour l’habituer. Ses mains attachées dans le dos font des mouvements comme pour me dissuader, mais je relance l’œuf et les pinces à seins étant en place combinant ces trois sensations, elle capitule.

J’enfonce un peu plus le plug. La deuxième boule, un peu plus large la fait souffler, mais son sexe devient toujours de plus en plus humide. J’en profite pour retirer l’oeuf et me place en dessous d’elle. J’écarte le string et je lèche son sexe tout en continuant d’enfoncer le plug.

Elle n’a plus aucune résistance et la 3e boule glisse tout simplement.Gardant le contrôle avec le plug inséré, j’enfile la gaine à picots que j’enduis abondamment de lubrifiant et je la prends en m’enfonçant doucement.

Un râle de plaisir sort de sa bouche et j’accentue mes mouvements de reins. Les râles deviennent des cris, son visage écrasé sur la couverture alors que ses mains, jusque-là sages, agrippent ses fesses et écartent. Je glisse le plug, non sans difficultés et j’entends un « ooOOOOH ! » de plaisir alors que je continue mes va et-viens.

N’y tenant plus, je me retire et ôte la gaine et éjacule sur son joli cul. Je retire délicatement le plug et elle se laisse tomber sur le côté.

Je la détache et me blottis contre elle. Je lui lance un regard interrogatif, mais ses yeux brillants me donnent la réponse d’eux-mêmes.