Comte de Noirceuil

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Sous mes ordres !

Un récit de Sukube

Allongée dans le lit conjugal, mon mari enlaçant mon dos contre son torse, je cherche le sommeil.

Je tiens de ma main droite mon pendentif comme une sorte de « doudou » et je pars aux pays des rêves…

Le travail touche à sa fin,  je m’empresse de ranger mes affaires afin de finir à l’heure et ne pas être en retard à mon rendez-vous avec Delphine.

Je descends les escaliers et je la vois déjà en bas.

Je l’observe de loin, une jupe droite lui arrivant aux genoux, les cheveux en arrière.

Elle avait ce petit air hautain qui faisait d’elle une femme sévère.

M’approchant d’elle, ma main glisse sur sa taille fermement pour lui rappeler à l’ordre.

Elle sursaute ne m’ayant pas vu et une fois que son regard croise le mien, elle baisse de suite les yeux et m’adresse un bonjour timide.

Sur le chemin jusque chez moi, nous avons eu une conversation qui paraissait des plus normale.

Déroulement des journées de travail, de la vie personnelle…

Arrivées en bas de chez moi,  je lui dis qu’une surprise l’attend là haut.

Un grand sourire vient illuminer son visage et ses yeux pétillent de curiosité.

Mais pas une seule explication ne sort de ma bouche.

Je la laisse passer devant, la regardant monter les escaliers un  à un, apercevant le haut de ses bas sur ses grandes jambes.

L’une de mes mains s’aventure à l’intérieur d’une de ses cuisses, tout en lui ordonnant de continuer de monter.

Devant la porte, je repasse devant elle.

«  Ce soir tu vas vivre des choses qui te sont inconnues,  mais je sais que tu prendras ton pied ma salope ! ».

J’ouvre la porte et entre en premier.

La maîtresse entre avant sa chienne, question de supériorité et de chef de meute.

Je l’amène dans le salon et lui dit de s’installer confortablement sur le canapé.

Elle s’exécute en découvrant des yeux l’appartement. Sur la table basse devant elle, elle observe avec questionnement une clochette.

« Ce n’est pas pour toi » et je fais retentir le fameux « dingding ».

En quelques secondes, un homme apparaît, élégamment habillé, classieux,

« Bonjour Mesdames. Puis-je servir l’apéritif Maîtresse ? » J’acquiesce d’un hochement de tête, et le voilà reparti en cuisine.

Ma petite salope me regarde alors avec insistance, attendant un éclaircissement de ma part, mais rien juste un « tu verras » ;

Le valet revient et  dépose sur la table basse, deux grands verres de vin.

« Puis je reprendre ma place Maîtresse ? » ce à quoi je réponds qu’il devait déjà y être.

Il se met alors dans le coin de la pièce, face à nous afin d’être en position pour pouvoir répondre aux moindres de mes ordres, les yeux baissés.

Sous mes ordres

« Ma petite salope, cet homme que tu aperçois est mien. Il n’est ni humain, ni animal, il est juste ma chose que je modèle aux vues de mes envies.

Ce soir, il sera mon valet dévoué, prêt à tout pour assouvir mes caprices .

D’ailleurs pour te montrer ô combien il m’appartient, regarde… » Je me lève alors, me dirige vers ma chose et commence à lui déboutonner sa chemise.

Dévoilant ses tétons, je me mets à en aspirer un et à pincer fermement l’autre.

Ce qui provoque chez lui un léger gémissement.

D’une voix douce « chuuut !

Ne fais pas croire que je te fais mal et surtout personne ne croit que tu n’aimes pas ça ».

Puis vient le tour de son pantalon, je retire un à un chaque bouton, mais ne dévoile pas son anatomie.

Je le retourne brusquement pour montrer à ma petite salope, ce beau fessier moulé dans son pantalon.

Je le caresse et le claque d’une une belle fessée, ce qui le surprends et il se mets à serrer les dents.

Je baisse ce foutu pantalon en bas des chevilles et lui fais retirer.

Son cul toujours face à nous. Une main de chaque côté, j’écarte son cul, montrant ainsi à mon « invitée » son petit trou palpitant.

«  Tu vois Delphine, cet homme est encore plus salope que toi !

Regarde son trou est un vrai puits sans fond, il y rentre tout un tas d’objets et il aime ça, jamais tu l’entendras dire stop, mais plutôt encore et encore !

Mais vous rougissez tous les deux dis donc !

L’un est humilié à souhait. Première fois qu’il te rencontre et tu connais déjà ses vices cachés… cachés en profondeur ahahahah.

Et toi petite salope tu rougis, car tu as ta culotte qui devient humide n’est-ce pas ? » pour seule réponse un regard qui descend sur ses propres pieds.

Je m’approche d’elle passe ma main délicatement entre ses cheveux et les empoigne, relevant sa tête devant moi. « Tu n’as pas tout vu ! Et ta culotte n’a pas fini de mouiller ! » Retournant vers notre valet de soirée, je le retourne.

Delphine porte alors une main à sa bouche surprise, ses yeux s’ écarquillent et ne quittent plus l’anatomie de cette chose qui rougit alors de plus en plus.

Mon valet aperçoit le regard de la salope en chaleur, mais n’ose le supporter de honte.

Il me regarde suppliant, seul un sourire hautain se dessine sur mon visage.

Il baisse alors la tête.

« Ce que tu vois là, Delphine, s’appelle une cage de chasteté.

Moi-seule en détiens la clef, car il est à moi !

Je le possède et dans tous les sens du terme.

Il est incapable de bander ainsi et ne peut même pas se branler en mon absence.

C’est un impotent !!! » Je sens ma propriété avoir encore plus honte, le grand pouvoir de l’homme étant dans son caleçon, là, il n’y a plus rien !

Ma main caresse la cage.

Ma petite salope a retiré la main de devant sa bouche et me regarde faire en croisant-décroisant les jambes.

Je me penche en avant et passe de légers coups de langue sur cette armure de fer striant sa queue qui ne demande qu’à bander.

Ce qui lui sert de sexe devenant de plus en plus gros. La cage est maintenant bien remplie, mais hélas c’est douloureux pour lui.

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« Approche petite chienne ! Viens voir de plus près ! »

Elle ne se fait pas attendre et saute à genoux aux pieds de ce qu’il reste de l’homme.

Elle observe ce gland, complètement déformer par la cage et commençant déjà à baver.

Je vois son regard rempli de curiosité… «  tu peux toucher si tu le veux ? »

Elle ne se fait pas prier et se met d’abord du bout des doigts à caresser les fines barres de fer verticales.

Mais viens vite le moment où elle le prend en main. « GOUTTE LE ! »

Sa langue passe de tout son long,  je la saisis par les cheveux « SUCE LA ».

Elle engloutit cette armure et fait de longs vas et viens.

J’aperçois le soumis avoir du mal à garder son contrôle.

Je me relève et lui susurre à l’oreille de garder son calme sinon, il devra garder la cage pendant de longues journées.

Il se ressaisit, reprend son souffle, mais sa queue a encore du mal à reprendre sa taille et un aspect normal.

« CHIENNE ! Avide de queues !

Tu ne peux t’empêcher de bouffer des bites même encagées !!

RELÈVE-TOI ! » Elle obéit de suite ! «  Déshabille-toi et fais-le en bonne salope que tu es ! »

Elle commence alors à se trémousser, nous dévoilant chaque partie de son corps avec le regard le plus perverti jamais vu.

La voilà nue, ne portant que ses bas et son string rouge.

C ‘est alors que j’aperçois qu’au niveau de son sexe, le rouge de son string est beaucoup plus foncé .

Je touche. C’est complètement trempé ! « Tu mouilles tellement que ça se voit chienne !! »

Le regard baissé, elle me répond : « pardon maîtresse. »

« Tu es une salope, quoi de plus normal que de mouiller ainsi !

Regarde valet comme tu l’as fait mouiller, c’est toi qui devrais avoir honte !

Tu la chauffes et n’es même pas capable de la baiser ! » le rouge leur monte aux joues à tous les deux. « Débarrasse la table ! » la table basse ne fut jamais aussi vite débarrassée.

J’installe Delphine sur cette dernière à quatre pattes et lui retire son string gluant que je m’empresse de lui fourrer dans sa fente trempée.

Le valet est à côté, il ne bouge pas, il ose jeter certains regards vers nous, la curiosité /excitation étant plus forte.

Il essaie de ne pas bander, mais comment faire quand deux femmes sont à votre portée en train de se toucher.

Mes doigts entrent de plus en plus son string au fond d’elle. «  Toi tu ne portes pas de ceinture de chasteté, mais au vu de comment tu mouilles, un bouchon est plus que nécessaire ! »

Ma salope me répond «  oui Maîtresse, je suis une pute ! »

Ah enfin, elle l’admet !

Comme toute réponse, je lui administre une fessée qui vient rougir son cul de pute !

La chatte ainsi bouchée, je m’attarde à son petit trou qui ne demande qu’à être fourré !

Un doigt s’y glisse tellement facilement que vient le tour du deuxième, puis du troisième très rapidement.

Elle aime tellement que son cul fasse des bruits de chatte baisée comme il se doit. Je la vois tendre la langue vers la cage. Je dispose alors du valet juste en face d’elle à quelques centimètres de sa langue, mais juste assez pour rester hors de portée.

Mon ramonage de cul continu.

Je vois son sexe qui ruissèle le long de ses cuisses à cette chienne.

Son parfum de cyprine devient de plus en plus présent.

Elle sent la pute !

Elle sait qu’elle ne peut atteindre la cage avec sa langue, pourtant celle-ci reste toujours dehors, et la belle se met donc à baver .

« On bave de la chatte, du cul et maintenant de la bouche, tu es vraiment une bonne salope ! »

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Me relevant j’ordonne au soumis de venir à ma place.

Je prends son sexe de fer alors qu’il est mou et l’enfourne tel un gode dans le cul la salope.

Elle  gémit, en demande encore.

Il commence alors des aller-retour dans son trou qui devient de plus en plus large.

Mais lui ne peut toujours pas bander et la frustration monte tellement qu’il se met à lui pilonner véritablement le cul.

Il se défoule sur elle ne pouvant prendre de plaisir.

La chienne se met de plus en plus à gueuler.

Je la fais donc se taire en lui collant le visage sur ma chatte.

Elle peut s’empêcher de la lécher de suite…

Sa langue me fouille entièrement le sexe et je ne peux empêcher un orgasme de sortir l’inondant de ma fontaine.

Elle se met à laper ce doux cadeau pendant que le soumis continu de lui goder le cul avec sa bite encagée !

Les deux en même temps lui arrachent une jouissance folle et la belle se met a trembler.

Elle ne tient même plus sur ses quatre pattes.

Le soumis se retire encore plus frustré par ces deux orgasmes, je lui ordonne d’aller préparer mon lit.

Je ne veux plus le voir.

Après un long câlin pour aider mon invitée à redescendre, je la laisse là et je vais dans la chambre…

Le pays des rêves prenant fin, je me réveille avec mon pendentif encore dans mes mains.

Ce nouveau pendentif est une clef.

Chez nous ce n’est pas le soumis qui porte le collier, mais le dominant qui détient le titre de propriété…

Sous mes ordres - Récit de Sukube

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2 Commentaires
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Comte de Noirceuil
3 années il y a
Répondre à  Tony Vellone

J’espère que l’auteure passera prochainement pour lire votre commentaire. Merci d’ailleurs.

Tony Vellone
3 années il y a

Bravo pour cette scène parfaitement décrite et dont le réalisme sent le vécu !

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