Comte de Noirceuil

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Ludivine

Un récit du Comte de Noirceuil

Ludivine

Le repas touchait à sa fin et nous prenions tous un digestif que nous avions depuis quelques années.

Un bon Cognac de 30 ans d’âge que nous savourions dans le petit salon.

Madame avait mis les petits plats dans les grands.

Fine cuisinière, elle nous avait régalées et la convive ne manqua pas de la féliciter.

Durant le repas les conversations allaient bon train.

L’ambiance y était détendue.

Ce fut préférable, car j’aime l’humour sans tabou.

Humour noir, piquant et parfois un peu osé.

Je n’avais pas de honte devant cette amie de longue date.

Nous nous connaissions depuis le collège, mais ne nous étions pas revu depuis que ma femme et moi étions venus vivre dans sud de la France.

Nous discutions régulièrement via les réseaux sociaux et connaissions nos vies, nos évolutions professionnelles et pour elle, ses nombreuses déceptions amoureuses.

Elles ne s’étaient jamais rencontrées toutes les deux, mais entendait parler l’une de l’autre par mon intermédiaire.

Ce fut lorsque Ludivine, mon amie, vint sur Toulouse pour y rencontrer je ne sais qui qu’elle profita de l’occasion pour nous rendre visite et rencontrer Vanessa, ma femme.

J’avais vu quelques photos d’elle sur internet, mais je constatais que les photos ne reflétaient pas la vraie beauté qu’elle était devenue.

Ses yeux bleus et ses longs cheveux noirs furent d’ailleurs un sujet de conversation à table.

Ma femme ne tarit pas d’éloges d’ailleurs à ce sujet et de son physique en général. Je craignais d’ailleurs que ce ne soit pour me faire remarquer une pointe de jalousie.

Les compliments, à ma grande surprise, rendirent les deux femmes assez complices.

Ce fut moi qui ressentis une pointe de jalousie lorsque Ludivine me sembla plus intéressée par la conversation avec ma femme.

Je tentais quelques blagues afin de m’immiscer dans la conversation.

Elles souriaient par courtoisie, mais continuaient leurs discussions.

Je prie alors soin de m’éclipser pour aller chercher des glaçons.

Occupées par leurs points communs, je profitais pour scruter discrètement Ludivine qui portait une robe assez courte d’où je pouvais apercevoir le haut des ses bas en dépasser.

Elle était chaussée de jolis talons aiguilles qui lui donnait un air très pin-up, très sexy.

Mes yeux furent stoppés quand je compris que ma femme avait plongé ses yeux dans les miens.

Un flagrant délit en bonne et dût forme. Je souris bêtement quand je compris que Ludivine avait tourné la tête et me regardais par-dessus son épaule en souriant aussi.

J’étais un peu gêné, mais je fis l’air de rien et j’en profitais pour la complimenter de nouveau sur son physique et sa tenue très sexy me disant que la meilleure défense, c’est l’attaque.

C’est là que fût estomaqué par la question qui sortit de la bouche de Vanessa. Elle demandait à Ludivine si nous avions déjà couché ensemble.

Je devais avoir la bouche grande ouverte à ce moment-là, car les deux brunes se mirent à pouffer de rire en me regardant.

Je balbutiais en répondant que non. Ludivine surenchérit en disant que cela ne devait pas être l’envie qui m’en manquait.

Ok, là j’étais KO.

Je regardais ma femme qui papillonnait des yeux comme pour me narguer. Autant dire que je ne savais plus ou me mettre.

Elles reprirent leur discussion amusée comme si je n’existais plus.

La situation était étrange et il régnait une ambiance un peu particulière. Je ne sais même pas de quoi elles discutaient.

J’étais ailleurs ne faisant plus partie de leur bulle.

Étant toujours accroupi à la recherche des glaçons qui du coup, tardèrent à venir, je surpris sous la table du salon, une scène qui me laissa pantois.

Ludivine caressait de sa main, la cuisse de Vanessa.

Toujours dans leur dialogue, cette fois je ne me fis pas surprendre à observer les gestes Ludivine.

Vanessa ne s’interposa nullement quand Ludivine fit remonter sa main jusqu’à son entrejambe.

Je voyais la culotte de Vanessa bouger.

Ludivine ne lésinait pas sur la masturbation.

Je décelai même un regard brûlant entre les deux femmes.

À quel moment cela avait commencé à déraper ? Moi qui suis si alerte dans ce genre de situation, je n’avais rien vu venir.

Afin de ne pas arriver brusquement je lâchais un : ça y est ! Je les ai trouvés !

Afin de faire comprendre que j’étais sur le retour.

Je me dirigeais vers le salon comme si de rien n’était. Vanessa avait les pommettes teintées et Ludivine… Bon sang !… Ludivine se passait les doigts sur les lèvres de sa bouche comme pour « goûter » Vanessa.

À ce moment précis, je comprenais que j’étais l’intrus, mais qu’il me fallait faire le naïf…

Le reste de la soirée se passa sans événements marquants, enfin de ce que je pus voir. Nous plaisantions toujours de la même manière et nous nous quittâmes à grands coups de serrage de bras et de bises.

Ludivine lança un regard foudroyant à Vanessa en lui demandant si elle était toujours OK pour une sortie shopping demain.

Vanessa acquiesça non sans un certain entrain.

Je compris que ce rendez-vous était une suite, mais je jouai la carte de l’homme qui ne voit rien.

La soirée étant déjà tardive, nous allâmes nous coucher. Je laissais l’initiative à Vanessa de me dire ou non ce qui s’était passé.

Elle préféra ne rien dire et dans le cas présent, je préférais laisser là cette situation afin d’en observer l’évolution non sans une certaine excitation.

Nous verrons si demain elle décide de parler.

Nous nous couchâmes sans faire l’amour.

Elle était fatiguée me dit-elle. Je souris en me penchant pour éteindre la lumière.

J’eus du mal à trouver le sommeil…

 Je fus tiré du sommeil par le bruit du sèche-cheveux dans la salle de bain qui résonnait dans la chambre comme le moteur d’un avion.
Les yeux encore en pyjama, je jetais un œil sur le réveil. 9:30 Mince !
Pour une fois que j’arrivais à dormir si tard.
Je reposais de nouveau ma tête sur l’oreiller comme pour profiter de mon cocon.
Je souris, car mes pensées se remettaient en ordre et je compris que Vanessa se préparait pour sa journée shopping.
Rendez-vous à 10H dans la galerie commerciale.

À pas feutrés, elle entra dans la chambre ne sachant pas que j’étais réveillé.

Elle fouina dans l’armoire. Elle avait déjà enfilé des bas très coquins et un string assorti au soutien-gorge, qui mettait en valeur ses fesses.

Dit donc, juste pour aller faire du shopping ? me dis-je.

Je fis semblant d’émerger. Elle ne se cacha pas.

– Bonjour ! Me dit-elle en m’embrassant.

– Bonjour ! Répondis-je en bâillant. Dit donc ! Quelle tenue pour aller faire du shopping…

– Je ne suis pas si naïve, tu sais ? Je sais très bien que tu as compris hier soir.

Je ne pus que faire un sourire en coin pour acquiescer.

Est-ce l’idée ou la réaction classique matinale ?

En tout cas, mon sexe était tendu, mais je le gardais bien pour moi, ne voulant pas « gâcher » ses préparatifs.

Elle savait donc que j’avais compris, mais ne me dit rien. Garce !

Elle opta pour une robe beige, sobre, mais avec sa peau mate, cela donnait quelque chose de sexy. Joliment maquillée et bijoux assortis.

Mince ! J’en serai presque jaloux de la voir désirable comme cela, mais pas pour moi.

– Je te laisse sinon je vais être en retard ! finit-elle en m’embrassant

– Bonne journée ! Répondis-je bêtement.

J’entends la porte claquer et ses talons résonnent dans les escaliers.

Je me lève d’un bond pour la voir en entier par la fenêtre.

Elle est belle.

Elle est désirable sur ses talons.

À ce moment je comprends que ce n’est pas moi qui vais profiter de ses charmes.

Un mélange d’excitation, de jalousie et de crainte.

Et si cela ne se passait pas bien ?

Je me retourne et commence ma journée.

Petit déjeuner et je file sur l’ordinateur voir les dernières bêtises de mes ami(e)s sur les réseaux sociaux avant de commencer à travailler.

Enfin…travailler c’est vite dit.

Ce n’est pas mon travail principal, mais celui que je fais par passion.

11h30. Je me demande si le shopping se passe bien ?

Je regarde mon téléphone. Est-ce que je lui envoie un texto ?

Si je le fais, est-ce que cela ne va pas tomber au mauvais moment ?

Pas à cette heure ?…Je m’abstiens non sans avoir des images en tête.

Ça m’excite quand même cette situation.

Difficile de ce concentrer sur mes pages. Je n’arrête pas d’y penser.

12h30. Je me décide à lui envoyer un message. Je ne préfère pas téléphoner.

“Vous mangez sur place ou vous rentrez ? Afin que je sache si je prépare à manger ?”

Bon ok, je reconnais que c’est super maladroit et pas très malin.

“On mange dans la galerie, mais c’est gentil ! J’ai acheté de la lingerie trop craquante ! ”

“Ah ? Il me tarde de voir ça !  ”

Que pouvais-je répondre de plus ?

Finalement, elles font bien du shopping et moi, les images les plus perverses me passent par la tête.

Acheter de la lingerie, entre filles avec Ludivine

Peut-être me ment-elle ?

Peut-être que Ludivine à profiter de l’occasion pour entrer dans la cabine d’essayage, l’à regardée dans le miroir en ce plaçant derrière elle, lui à embrassée le cou en laissant ses mains descendre le long de son corps…Vanessa l’a laissé faire comme pour lui dire qu’elle n’attendait que ça.

Écarter ses jambes et laisser la main de Ludivine caresser son sexe…je suis excité encore une fois. Il faut que je pense à autre chose.

Je me remets sur ma table à dessin et navigue entre celle-ci et l’ordinateur pour y trouver des références.

Les heures passent. J’ai réussi à être dans ma bulle.

Mais quelle heure est-il au juste ?

16H. Wow ! Déjà ?

Ma première pensée est de me demander ce qu’elles ont fait ?

Ou déjà fait ? Ou pas fait ? Bref ! Où en sont-elles ?

C’est excitant comme situation de savoir que Vanessa va faire des choses coquines avec une autre fille, mais c’est rageant d’être dans cette attente.

Je vais continuer mes activités.

18H45.

Je saisis mon portable et je tape : “Le shopping est fini ?…”

J’efface. Je ne dois pas être là. Physiquement et virtuellement.

Finalement, mon portable vibre m’annonçant un texto. Synchro !

“Shopping terminé ! Ne m’attends pas ce soir, je mange avec Ludvine ! “

Ok. Message court, mais qui mettait la situation au point. C’est ce soir. J’hésitais, mais je lui envoyais ce qui sera le dernier message de la soirée.

“Je laisse mon portable allumé si tu as besoin, mais je ne te dérange plus. Bonne soirée. Je t’aime ! “

Je reçus pour toute réponse un smiley qui faisait un clin d’oeil.

Peut-être aurais-je dû lui dire ?

Ludivine est une femme avec de l’expérience et les soirées que nous avions passées ou elle me narrait les relations avec les autres filles n’étaient pas des soirées tout en champagne et douceurs parfois.

C’est une fille active et qui aime aussi que la fille qui s’occupe d’elle le soit aussi. J’ai eu un doute sur la capacité de Vanessa à gérer cette situation.

À moins que Ludivine se soit assagie ?

Ou qu’elle s’adapte à Vanessa ? En pensant à cela, j’eus peur que la soirée soit un échec.

J’ai tourné en rond toute la soirée passant de l’excitation à la crainte.

Finalement, le sommeil me gagna et je m’endormis vers 2H du matin.

C’est le bruit de la porte de la chambre qui m’a réveillée.

Vanessa rentrait de sa nuit avec Ludivine. Il était 7H.

Mon visage en mode « Albator », comprenez une jolie cicatrice faite par la marque de l’oreiller en travers du visage, je lançais un simple :

– alors ?

Elle avait les yeux qui pétillaient et les pommettes rouges. C’était fait.

Mais son visage était comme celle d’une petite fille qui venait de faire une bêtise.

Étrangement, de savoir qu’elle venait de faire l’amour à une autre fille m’excitait fortement.

Je sentais l’odeur fauve de la femme et les parfums des corps mélangés.

– ça ne sait pas bien passé ?-

– Si si ! Très bien ! Je ne m’attendais pas à ça…

Cette dernière phrase me laissa dans l’expectation. J’aurais voulu en savoir plus.

– C’est à dire ?

– Ah non ! Je préfère garder ça pour moi et n’insiste pas !

J’ai bien compris que je n’en saurai pas plus. Je tente quand même une dernière fois

– Il y à eu un problème ?

– Aucun, mais…laisse tomber s’il te plaît !

Mon cerveau ne fit qu’un tour. Ludivine, qu’as-tu osé faire avec elle pour qu’elle soit si perturbée ?

Je laisse Vanessa se reposer et je file dans la cuisine préparer un café.

Je passe devant mon portable que j’avais laissé sur la table basse du salon.

Tiens ? Un message qui date de…ce matin. Ludivine.

Vanessa se prépare à aller au travail et me gratifie d’un bisou avant de passer la porte.

Je me mets à la fenêtre pour la saluer.

Elle monte dans sa voiture et file.

J’observe le véhicule disparaître au coin de la rue, mais, à peine est-il partit qu’un appel de phares attire mon attention.

Garée un peu plus loin, je reconnais la voiture de Ludivine.

Décidément, elle ne pouvait pas attendre ! me dis-je.

Je lui fais signe de venir et je la vois descendre de sa voiture.

Sa tenue est toujours aussi provocante et ce fût confirmer par le coup de klaxon d’un automobiliste sous le charme qui passait à côté.

Il eut le droit à un joli majeur levé en guise de réponse.

Elle sonna à la porte et me fit une bise chaleureuse avant que je ne l’invite à prendre un café dans le salon.

Durant que je préparais nos doses de caféines, elle était toute enthousiaste à l’idée de me raconter ce qui s’était passé.

Je lui disais que rien n’avait filtré.

Impossible d’avoir une bribe de la soirée qu’elles avaient passée, mais que Vanessa était dans un état étrange presque honteuse.

– Tu m’étonnes ! Lâcha-t’elle.

– Il va falloir me dire parce que là, les petits secrets commencent à m’intriguer vraiment !

– File-moi mon café d’abord et je te raconte tout !

Elle commença par me raconter la journée shopping et ce qu’elles avaient visité comme boutique.

Je faisais une mine déconfite afin de lui faire comprendre que ce n’était pas du tout ce que j’attendais comme explications.

Elle le savait, mais ça l’amusait de me faire languir. Mais elle continua, ce qui m’agaçait, mais bon…j’en profitais pour regarder discrètement ses jambes parées d’un bas à petites résilles.

Claquement de doigts !

-Hey ! Arrête de me mater ! Ça va, j’en arrive à la soirée ! Ah les mecs !

-Ok ok, mais ça devenait trop long dis-je afin de justifier mon égard admiratif.

Elle se décide à me raconter la soirée…j’attends ne voulant rien rater.

– Donc, j’avais donné rendez-vous à ta femme pour faire du shopping mais je te connais, tu avais bien capté que durant la soirée de la veille, il s’était passé quelque chose sous la table.

J’ai tenté et elle était réceptive.

Plutôt très réceptive si j’en crois comment sa culotte était trempée !

Bref, le shopping n’était qu’un prétexte et elle l’avait bien compris vu ce qu’il s’est passé, elle avait aussi préparé la coquine !

Je t’épargne les heures de shopping ou elle à profiter que j’essaye de la lingerie, pour me mater dans la cabine d’essayage en me caressant les fesses en nous regardant dans le miroir.

Elle avait les yeux qui me brûlaient.

Elle m’embrassait dans le cou.

Je peux te dire que j’ai acheté un string déjà bien humide ! (rire)

On file chez moi, car j’en pouvais plus.

Moi qui la prenais pour une timide. Je lui ai proposé un verre.

On à discuté de tout et de rien. Elle était plutôt sage et j’ai eue peur qu’elle ne fasse marche arrière, car rien ne laissait paraître que je pouvais passer à l’action.

Les verres finis, je me lève pour aller chercher des trucs à grignoter pour poursuivre l’apéro.

Arriver au meuble, je me retourne et je sursaute.

Elle était derrière moi et vlan !

Voilà qu’elle m’empoigne la nuque et me colle sa bouche sur la mienne et se collant contre moi.

Un truc de dingue !

Un baiser fougueux que je lui ai rendu grave !

J’ai avancé toujours la bouche collée à la sienne pour nous diriger vers le canap’. C’est là que j’ai perdu le sens de l’initiative.

Tu me connais moi je suis du genre à aimer dominer la chose…

– Oui oui, tu me l’à déjà dis.

– Beh là… – Lâcha t’elle en laissant un grand blanc.

– Ne t’arrête pas ! Dis moi !

– Beh, j’étais assise sur le canapé, plutôt même enfoncé dedans, que ta femme a relevé sa jupe au niveau de ses hanches me dévoilant ses bas et le fait qu’elle ne portait que ça (gros clin d’oeil).

– Ah oui ? Oh la coquine ! Dis-je.

– J’aurai dit la salope, mais bon…me reprends Ludivine amusée sur un air coquin.

– Hey !

– Quoi ? J’aime les mots crus moi ! Ponctue t’-elle.

– Donc là, ta femme se retrouve la jupe retroussée devant moi et monte sur le canapé et se colle au dessus de ma bouche.

Sérieux ! Elle me colle son sexe déjà humide sur la bouche !..J’ai A-DO-REE !

Le côté timide oublie !

Elle attrape mes cheveux et ondule sous mes coups de langue.

Le kiffe total !

Je vais même te dire, je sentais qu’elle coulait le long de mes joues et de mon cou !…Elle mouillait tellement qu’elle me souillait le visage.

Je sentais les mouvements de sa main qui jouaient avec son clito.

Et tu sais quoi ? Elle à joui égoïstement, comme ça, en se servant de moi. Et j’ai kiffé grave !

Je ne cache pas que quand Ludivine me racontait ça, j’avais une érection terrible ce qui ne lui échappa nullement.

– Arrête de te tortiller, j’ai bien capter que ce que je te dis te fait de l’effet hein ? Dit-elle en papillonnant des yeux.

-Attend, ça, c’est que l’entrée ! Ajoute telle.

Là, je décide de reprendre les choses en main et d’en avoir moi aussi pour mon plaisir.

Je la laisse quelques secondes pour redescendre et je me relève.

Je descends ma jupe, mais moi je portais encore ma culotte dans un état détrempé, je ne le cache pas.

Je la regarde avec ses yeux encore en étoile en train de savourer l’après et je commence à me caresser sur la culotte en la regardant droit dans les yeux. Vanessa s’est mise à genoux devant moi et n’a pas tardé à mettre la culotte de côté et à attaquer avec sa langue.

J’étais déjà à fleur de peau, tu penses !

Elle me caressait les cuisses et me les léchait en remontant jusqu’à arriver sur ma chatte.

Bon sang ! Tu sais qu’elle lèche bien en plus ?

Là, je me suis dit, « toi la fausse timide, je vais te faire voir ce que s’est qu’une nana qui maîtrise. » Vanessa m’a agrippée les fesses et enfonçait son visage dans mon sexe.

Sérieux elle me baisait avec sa langue, ça fouillait à l’intérieur. Putain c’était bon. A un moment je me suis déportée sur le canapé en l’ayant toujours accrochée à moi et je me suis allongée.

Là, elle à commencé à me mettre un doigt puis deux vus que j’étaie ouverte à mort !

Et elle ne lâchait rien.

J’avais mon regard sur elle qui avait ses yeux dans mes yeux avec une sorte de foudre dans le regard comme pour me dire « Je vais te faire jouir ma cochonne ! »…et elle y est arrivée !

Ah bordel ! Fulgurant ! D’ailleurs, elle à été un peu surprise que je l’inonde (rire)

– Oh ? Tu es une femme fontaine ? Je demande.

– Beh..Pas tout le temps, mais là… Acquiesce’-elle.

– Elle à quand même apprécié puisqu’en me regardant, elle léchait ses doigts.

– On parle bien de « Ma » Vanessa là ? Dis-je les yeux écarquillés.

– Ouais ouais…une vraie cochonne sous ses airs BCBG hein ?

– Bon, ensuite on a fait un break.On est restées l’une dans les bras de l’autre ensuite j’ai été prendre une douche avec elle. On est restées sages aussi sous la douche, mais c’était un moment sympa de se laver mutuellement. Tendrement.

– Eh beh…je reste bouche bée devant ce que tu me racontes Ludivine.

Ludivine me regarde en faisant une moue déconfite et ajoute :

– Attends ? Tu crois qu’il faut une nuit pour ça ? Là c’est que le début !

– Comment ça ? Dis-je l’air surpris, mais attentif.

– Une fois la douche terminée, alors que nous étions revenues sur le canapé pour discuter un peu, puis ça a dérapé un peu.

Nous étions nues toutes les deux et je lui ai demandé si elle savait ce qu’était un ciseau ?

Voyant qu’elle ne savait pas, j’ai entrepris de lui montrer.

On s’est installée l’une en face de l’autre, je lui ai fait écarter les jambes et je me suis installée.

Sexe contre sexe, j’ai commencé à me frotter.

Elle a suivi le mouvement, c’était sympa. Ça lui a plu.

C’est là qu’elle me lâche :

-Tu as des toys ?

Tu penses que j’en ai ! Et des très amusants.

Là j’ai compris qu’elle voulait remettre ça.

Je lui réponds que « oui, ne bouge pas ! »…En me levant, je passe devant la chaîne Hi-fi et j’en profite pour mettre une musique douce.

Je reviens avec ma petite mallette aux malices. Et là…Oh surprise, elle était en train de se caresser encore.

La vache, elle à un appétit terrible.

Elle me fixait en se mordillant la lèvre inférieure.

Tu sais, c’est super excitant de voir une femme comme ça, le sexe en avant en se caressant et te fixant dans les yeux en se mordillant la lèvre.

Je peux te dire que moi aussi, j’ai directement senti mon sexe palpiter !

Ni une ni deux, je me suis mise à genoux et j’ai léché Vanessa.

J’ai vu son visage changé et ses dents se serrer comme quelqu’un de hargneux. Tu vois, j’ai cru que j’allais pouvoir reprendre le dessus, mais c’est une furieuse.

Elle à passé une de ses jambes par dessus ma tête.

Je me suis dit « Qu’est-ce qui se passe ? Elle fait de la gym ? »

Accroche-toi.

Elle s’est retrouvée à 4 pattes devant moi, les fesses devant mon nez et elle à baisser les épaules. Tu vois la position ?

J’avais son cul…son beau cul bien épilé à la peau mate juste devant le nez.

Bon, c’est pas comme si j’avais pas l’habitude hein ?

Donc, je me baisse et continue à lécher son sexe ou je voyais parfois une de ses mains passer pour se caresser.

C’est là que j’ai senti une de ses mains passer derrière son dos et venir attraper mes cheveux et diriger ma langue sur son cul !

-Quoi ? Mais, mais…J’avoue être estomaqué et ne savoir quoi dire à Ludivine.

– Ouais t’as bien entendu, elle me demande explicitement de lui lécher le cul. Me répond-elle.

– Mais euh…tu l’as fait ? Je lui demande, mais je sais bien que oui, mais de l’entendre m’excite encore plus.

Ludivine me regarde comme pour me narguer.

– Oh oui ! Je l’ai léché en lui pétrissant les fesses et tu sais quoi ?

Elle se dandinait, remuait de la croupe en gémissant. Ma langue parfois même explorait l’intérieur.

J’ai même vu ses mains écartées comme pour que je puisse baver dessus comme il se doit.

Et bien je peux te dire que c’est une sacrée vicieuse ta femme !

Elle m’a moi-même surprise, mais j’adore les filles étonnantes comme ça !

– Je bande comme un fou ! Laissais-je échapper sans retenue.

– Je me doute bien. Tu risques d’exploser ! Fit-elle.

– Elle à joui en se caressant pendant que je lui lapais son petit trou que je sentais faire une petite danse à chaque coup de langue.

Moi de mon côté j’avais les cuisses brillantes tellement je mouillais.

Elle m’a excité à tel point que j’avais une boule au ventre.

Mais, je l’ai pas laissé refroidir.

Je l’ai retournée pour qu’elle se retrouve allongée et cette fois c’est moi qui me suis mise au-dessus.

Genre soixante-neuf tu vois ?

Et je lui ai bien fait comprendre que cette fois c’est moi qui allais lui coller mon cul sur sa langue.

– Non ? Je n’ose même pas imaginer !…Mais..Elle à… ? Je n’arrive pas à finir mes phrases.

– Ouais, direct. Pendant que je m’occupais de son minou tout humide, elle m’a léché le sexe en même temps et parfois, elle attardait sa langue sur mon trou du cul. Moi j’adore ça !

– Quoi ? Tu ne joues jamais avec son cul toi ? Me demande-t-elle.

– Non, ce ne sont pas des jeux que l’on…enfin..Elle n’est pas… Je ne finis toujours pas mes phrases.

– Tu vois, entre filles on aime tous les plaisirs et on sait y faire nous !. Me claque-t-elle au visage. Puis elle reprend.

– J’étais tellement excitée que je n’avais pas vu qu’elle avait pris un gode dans la mallette ouverte.

Crois-moi que j’étais tellement ouverte moi aussi qu’il est entré sans sonner à la porte.

Elle l’a gardé dedans en faisant des petits va-et-vient en se libérant de dessous moi.

Elle s’est levée en me demandant de continuer à me mettre le gode et de ne pas tourner la tête.

Putain sur le moment je me suis dit « elle fait quoi ? Elle se barre ? »

J’ai entendu des accroches que je n’ai pas reconnues sur le moment.

J’étais toujours le cul en l’air en train de m’enfiler le gode quand je l’ai senti se replacer derrière moi. C’était excitant !

J’ai lâché un râle de plaisir quand j’ai senti le lubrifiant un peu froid couler sur mon petit trou.

J’avais bien compris la suite. Merde !

Sans déconner pour une fille timide, elle en a des initiatives !…Elle avait enfilé le gode-ceinture !

Celui-là même que j’utilise en général moi-même pour baiser les filles !

Elle a commencé à me limer l’anus avec le bout du gode-ceinture.

– Tu..tu utilises ce genre de chose ? Demandais-je bêtement.

– Toi, tu as beaucoup à apprendre on dirait.

La particularité de ce gode-ceinture, c’est que celle qui le met à elle-même un gode dans le sexe et à chaque mouvement qu’elle fait, elle prend du plaisir aussi. Tu piges ? Me répond-elle en me fixant des yeux.

J’acquiesce d’un mouvement de menton. Puis elle reprend

– Donc je disais…oui ! Là, elle me lime le fion.

Désolé de l’expression hein. Tellement excitée et lubrifiée que, quand elle pousse un peu, il entre direct.

Et là, ta copine est en train de m’enculer ! Ouais..Pendant qu’elle fait ses mouvements de bassin, je sens que le gode qu’elle à elle lui procure bien du plaisir aux petits cris qu’elle pousse.

Et elle ne se gêne pas pour mater en me pétrissant à son tour les fesses.

Je me caresse en même temps et je ne mets pas beaucoup de temps à jouir.

Je ne saurais pas te dire combien de temps on est resté à faire ça, mais ça a duré longtemps…on a pris un pied de dingue !

Je crois que c’est au petit matin qu’on a fini sous la douche toutes les deux, tendrement.

On n’a pas parlé de ce que l’on venait de faire.

Elle s’est rhabillée, on s’est salué en se claquant la bise devant le pas de ma porte.

On s’est quitté puis, elle a fait volte-face et me faisant promettre que jamais je ne devais raconter ce qui venait de ce passé.

J’ai promis et on s’est quitté ce matin.

-WOW !…et donc toi, tu viens me le raconter en trahissant ta promesse ?

– Je ne suis pas quelqu’un de confiance. Me dit-elle sûre d’elle en me faisant un clin d’œil.

Sacrée Ludivine ! Je la reconnais bien là.

– Bon aller je trace, raconter tout ça m’a excitée de nouveau. Me lâche-t-elle.

– Moi aussi bon sang ! Dis-je.

– Tu veux une pipe ? Me lance-t-elle à la figure.

– Euh….

– Même pas en rêve ! Dégueulasse ! Finit-elle.

On finit notre petite conversation et je la raccompagne à la porte.

Je lui demande si elle compte repasser un de ces quatre.

– Évidemment, j’ai une bonne raison maintenant .

– Sympa pour moi !

– Oh ça va, je déconne. D’ailleurs est-ce que tout ce que je viens de raconter est vrai ? Me balance-t-elle au visage.

– C’est faux ? Tu as tout inventé ?

– Çà, tu ne le sauras jamais puisque tu ne peux pas demander à ta petite BCBG qui est peut-être une perverse hein ? Aller ciao  et…bon courage !

Et Ludivine fend l’air vers sa voiture me laissant là, cruellement interrogatif et impuissant sur la vérité vraie. Quoi qu’il en soit, ma quête désormais sera de découvrir la vérité. Et…c’est loin d’être gagné !

Sacrée Ludivine !

Ludivine - Récit du Comte de Noirceuil

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5 mois il y a

Super récit ! le fait qu’à l’époque ou j’habitais à Toulouse, ma compagne se prénommait Ludivine n’y est absolument pour rien ! 😉

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