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En plat de résistance (Part.I)

Un récit de Lila Tom

C’est une soirée comme tant d’autres.

Verres de vin , cigarettes et bonnes parties de rigolade

Je connais ce couple depuis peu, mais le courant passe vraiment bien.

Claire et Bastien… On aime rire de tout, et profiter des bonnes choses.

Au courant du dîner, j’entends parfaitement leurs allusions maladroites.

Ça me fait sourire… Si seulement ils savaient…. J’ai la nette impression qu’ils n’attendent qu’une  chose : un regard approbateur, un signe, l’acceptation de leur invitation pas très subtile….

A l’heure du dessert, ils entrent carrément dans le vif du sujet.

Ils semblent apprécier  se présenter comme des novices dans le libertinage, mais qui en connaissent un rayon niveau sexe.

Ils aiment préciser à quel point leur couple est uni depuis tant d’ années, tellement uni qu’ils savent que passer dans ce milieu ne fera que les souder d’ avantage.

Ils m’exposent leur point de vue, leurs argumentations. Ils essaient très clairement de me rallier à leur cause. S’ils savaient….

Ils me taquinent, tels des adolescents qui jouent à cap ou pas cap.

Et je décide alors de rentrer dans leur jeu, très tranquillement, sans trop en dévoiler dès ce premier soir de révélations….

Ils me veulent, ça je l’ai parfaitement compris!

Et profitant de la présence de leur ami Fabio ce soir-là, ils réussiront à le tenter de profiter du petit jeu, sans doute afin de pouvoir se venter que leur vraie première expérience n’aura même pas été qu’une simple partouze.

Non…. Nous on est des grands!!!

On passe à l’orgie directe!

Cette soirée  sera plus qu’arrosée! Nous sommes quatre adultes, qui semblent consentants pour la même chose.

Un jeu de séduction s’installe dans les regards de chacun, cherchant à charmer les autres au rythme de la musique respirant le sexe…

Fabio vient de débuter sa semaine de vacances.

Je comprends qu’il va la passer avec eux.

Je comprends qu’ils l’ont fait venir espérant que ça fasse tilt. Il est beau garçon, présente bien, et m’ira parfaitement sur le plan d’une approche purement sexuelle.

Je lui ai tapé dans l’œil ; peut-être n’aurait il pas dû se confier à son amie Claire, qui s’est empressée de venir me le répéter.

Fabio et moi sommes assis côte à côte.

Le dîner est accompagné d’un délicieux Bordeaux.

La conversation tourne bien entendu autour du sexe.

Les petits regards coquins fusent. Claire et Bastien me fixent de temps à autre, comme pour me déstabiliser.

Seulement, il se pourrait bien que ce soit moi qui finisse par le faire…

Je pose ma main sur la cuisse de mon voisin de table, accompagnant ce geste à celui de mon verre vide tendu vers lui.

Il répondra à mes deux demandes, sa main sur la mienne, et mon verre de nouveau plein.

Nous sommes tous quelque peu éméchés, nous rions aux éclats, nous nous cherchons.

Fabio et moi encore plus.

Quoi qu’il en soit, nous allons nous envoyer en l’air! Tous!

Mais …. Pas ce soir… Ce soir, l’ heure se faisant plus que tardive, je décide de rentrer, malgré l’invitation à rester.

Je ne veux pas sauter le pas comme ça, sans avoir pris le temps de les faire languir un maximum…

Le couple me souhaite coquinement une bonne nuit, et mon futur amant d’un soir, je le sens, décide de me raccompagner jusqu’à chez moi, à cinq minutes de là.

Devant ma porte, je vois qu’il n’attend que ma proposition à rentrer prendre un dernier verre.

Mais je préfère lui offrir une sage étreinte , dans la froideur de l’hiver.

Puis un baiser d’ au revoir tout aussi sage. J’essaie de me tenir, car dans le fond, je me laisserais volontiers embarquer dans une fin de nuit torride avec lui…

Mais je vais plutôt lui laisser l’inconfort de la joyeuse érection que je sens, serrée tout contre lui, et le sentiment de frustration dominer ces rêves futurs.

Je le remercie pour cette charmante soirée, et le quitte d’un

” Très bonne nuit, monsieur!” .

Il rebrousse chemin, pas sans mal, et me lance un :

” A très vite! J’espère…. »

Je passai une nuit courte, mais divine.

Encore sous l’excitation de l’idée de ses prochaines élucubrations, je m’endormis la tête pleine de films interdits an moins de 18 ans…. Et je me réveillai 4heures plus tard, épuisée, mais avec le sourire!

En plat de résistance

Comme je m’y attendais, je ne tardai pas à recevoir un sms m’invitant à venir passer la soirée chez eux.

Je sais qu’on ne va pas perdre de temps à tourner autour du pot comme la veille.

Les intentions sont posées, chacun sait désormais à quoi s’attendre.

Ce soir je suis séduisante en total look noir: moulée dans mes bas, perchée sur mes talons aiguilles, jupe portefeuille, chemisier  laissant entrevoir mon soutien-gorge, qui lui dénote avec une touche de couleur rouge.

Je n’ai rien laissé au hasard: épilation intégrale, huile parfumée et comestible sur tout le corps, afin de laisser un premier gout sucré….

J’ai au fond de mon sac une jolie veste de déshabillé, et des affaires de rechange, car je sais que cette nuit, je resterai!

Je fus accueillie au portail non pas par les propriétaires des lieux, mais par leur ami.

Le spot automatique m’éblouit littéralement, je ne distinguai que son ombre s’approchant, et je n’entendis qu’un :

” Tu es magnifique… Tu vas nous les énerver!!! »

Il me prit la main pour me conduire vers l’entrée, et enfin je pus voir son visage.

Il était vraiment très beau, barbe bien taillée, bien coiffé et bien habillé. Mais l’ assurance de son look ne collait pas avec son comportement.

Comme si l’au revoir d’hier n’avait jamais existé, il ne me regardait même pas dans les yeux…. Je lui dis alors:

– Il n’y a qu’ eux que je risque d’énerver dis moi?

– Hein?

– Bah dis donc, c’est le trop-plein de vin qui t’a rendu si… joyeux hier soir? Moi qui pensais que c’était mon charme fou…

– Rassure-toi. Je n’ai pas eu besoin d’attendre de te voir dans cette tenue pour être énervée…

– Alors, approche et dis-moi bonsoir, monsieur!

Le baiser sage de la nuit passée laissa place à un baiser brûlant cette fois!

Dans les bras l’un de l’autre, c’était comme si nous nous connaissions depuis des années.

L’attirance était clairement mutuelle.

J’aurais voulu qu’il me prenne là, dans le jardin, une baise rapide et intense, au bout du second soir!

Nous eûmes du mal à nous détacher, mais nous finîment par  rentrer, essayant de cacher la tension  sexuelle qui régnait entre nous.

Le couple d’amis nous capta de suite. Nous avons été trahis par nos sourires d’adolescents.

Mais c’était rigolo, car ils nous ont dit:

– Le petit est chez sa tante ce soir, vous pouvez prendre la chambre d’amis si vous voulez, tout de suite.

Ne réfléchissez pas, faites-le!

Ce à quoi je rétorquai:

– Nous avons toute la nuit pour ça!

Lui n’eut même pas réagi.

Peut-être aurait-il aimé que je lui prenne la main, que je le dirige vers cette chambre.

Mais  une fois de plus, on aurait dit un gamin, puceau, complètement désemparé, et pas du tout concerné!

Après cet instant tellement chaud et complice partagé dix minutes plus tôt…

– Lila tu es vraiment très jolie ce soir, me dit Claire.

– Je te renvoie le compliment.

Et lui passant la main dans ses cheveux, je lui dis:

– J’aime quand tu gardes tes cheveux au naturel. Tu es ravissante…

Elle rougit alors. C’ était l’effet escompté.

Hier ils jouaient, Bastien et elle, à me provoquer et à tester mes réactions face à leurs envies.

Ce soir, je verrai bien de quoi il en retourne vraiment!

Le diner servi, nous prîmes le temps de picorer quelque peu. Bastien semblait chaud comme la braise.

Pas vraiment classe et délicat d’ailleurs.

Il louchait sur mon décolleté, ouvertement devant sa femme, qui, malgré ses discours , semblait légèrement agacée par cet intérêt certain et poussé de son mari pour ma personne. Il lança alors:

– Lila, tu t’y connais en massage? Ça vous dit une petite partie massage?

L’ entrée en matière typique…. Je répondis:

– Je ne suis pas une pro, mais je fais de mon mieux… Claire, ça te dit?

– Heu…. Oui ça me dit !!!

– Bastien, tu as ce qu’il faut, je suppose? Donne-moi de l’huile  s’il te plait, que je m’occupe de ta femme!

Il s’empressa! J’accompagnai alors la demoiselle à s’installer sur une chaise.

– Tu peux enlever ton haut s’il te plait? Je crois que ce sera plus pratique…

Elle me regarda d’un air presque complice.

– Tu ne t’ai jamais fait masser par une femme?

– Non, c’est Bastien qui s’occupe de ça d’habitude.

– Ok! Alors je vais tâcher de faire les choses bien!

Je m’installai derrière elle.

Les garçons s’étaient occupés de tamiser les lumières, de changer de musique, et de s’assoir en face de nous, comme pour profiter d’une représentation.

J’ enduisis mes mains d’huile, puis je commençai à toucher les épaules de Claire.

Sa peau était d’une telle douceur… Ses cheveux sentaient bon le jasmin… Je découvris les courbes de son corps sous la pression de mes doigts.

J’approchai mon visage de sa nuque, pour lui souffler:

– N’hésite pas à me diriger, dis-moi si je te fais mal, si tu veux que j’y aille plus fort.

Je veux te faire du bien….

Désormais assise derrière elle, j’enlevai à mon tour mon chemisier, pour ne pas le tacher avec toute cette huile, et j’approchai mon corps du sien, afin de bien l’enlacer et mieux lui masser les bras…

Je vis qu’elle se laissait totalement aller quand sa tête se mit à pencher tantôt à droite, tantôt à gauche…

Très à l’ écoute du moindre gémissement, du moindre soupir, je compris très vite ou appuyer pour lui procurer du plaisir.

Mes seins pressés contre son dos, mon souffle dans son cou, mes pressions devenant parfois caresses.

Ça lui plait. L’approche d’une femme envers une femme….

Et elle ne tarda pas à en faire part à son mari, lorsque celui-ci lui posa la question:

– Alors chérie, c’est comment?

– Pardon Bastien, ne le prends pas mal surtout. Avec toi c’est super!

Mais là, ça n’a juste rien à voir….

Après une grosse demi-heure, je proposai une pause.

Claire n’était pas prête à céder sa place, mais j’avais besoin de reposer mes mains.

Elle passa un tee-shirt, et partit avec Bastien fumer le pétard qu’il avait préparé.

– Vous venez? me lança t’elle.

Nous les accompagnâmes, Fabio pour fumer son cigare, moi ma clope.

– Lila dis moi… T’es sûre que tu n’es pas une accoutumée des massages? me dit alors Bastien.

Parce qu’ apparemment, tu as fait une heureuse là!

Et puis, je ne sais pas pour Fabio, mais j’ai trouvé ça super sexy!

– Non, je ne suis pas coutumière de ça.

Je suis juste attentive au langage du corps, lui répondis je. J’étais plutôt déçue de constater “l’ originalité” dont ils avaient fait preuve sur ce coup….

Fabio, lui, ne prit même pas part à cette petite discussion.

Il s’était même un petit peu éloigné pour entamer son cigare…

Je ne compris pas vraiment pourquoi.

Lorsque le couple rentra, je décidai de rester quelques instants dehors, afin d’aller lui parler.

– Tout va bien Fabio?

– Très bien, pourquoi?

– Et bien j’ai l’impression que tu es comme… Mal à l’aise. Tu t’isoles dans ton coin….

– Non, ne t’inquiète pas.

– Je ne m’inquiète pas. Je m’interroge!

– Et bien si tu veux tout savoir…. Je te trouve gentille, énigmatique, jolie, pleine d’assurance…. Tu m’intrigues. Et tu m’intimides un petit peu….

Je ne pus m’ empêcher d’esquisser un sourire.

– Et bien tu ne devrais pas! Je suis tout ce qu’il y a de plus simple. Pas besoin de te prendre la tête avec moi, au contraire.

Je suis juste une nana qui croque la vie.

Ni plus, ni moins!…. J’ai un peu froid, je vais rentrer…

– Attends. J’arrive.

Nous entrâmes dans le salon.

Mais surprise!

Pas de Claire, ni de Bastien. Uniquement le crépitement du feu de cheminée. Je me dirigeai discrètement vers la chambre d’ amis… Personne!

Je décidai de me risquer à m’approcher de leur chambre…

Et là je compris, aux râles et aux gémissements, qu’ils n’avaient pas pu attendre plus longtemps.

Lorsque je retrouvai Fabio au salon, il devina à mon rire étouffé  ce qu’il se passait.

– T’es pas sérieuse!

– Bah… Si!

– Non…. Ils abusent!

– Ils sont chez eux, ils ne font rien de mal, ça te choque?

– Arf… Bof…. Non finalement…

– Viens!

Je décidai de prendre les choses en main, et le conduisis vers la chambre qui devait être la nôtre.

Mais de nouveau, je me retrouvais face à un homme fermé, limite apeurée, incapable de prendre les devants. Agacée, je lui dis:

– Je te fais peur à ce point là? Où tu es trop gentleman pour me dire que tu n’as pas assez envie de moi pour faire ça là, comme ça, comme deux sauvages qui se connaissent à peine? Allé pas grave va, viens, allons prendre un verre au salon et…. Je ne sais pas! Jouer aux cartes!

– Ce n’est pas ça! Enfin…. Je veux dire… Disons que quand tu me fixes comme ça tu me déstabilises un peu et je ne sais pas si c’est du lard ou du cochon et… enfin tu aimes les femmes? Je t’ai vu faire avec Claire tout à l’heure. Et….

-Et quoi? Oui j’aime les femmes, mais j’aime aussi les hommes. Écoute laisse tomber. Ça commence déjà à devenir compliqué, alors qu’il n’y a pas lieu d’être, et je n’ai pas le temps pour ça. Je t’ai déjà dit qu’avec moi, pas besoin de se prendre la tête. Je suis une fille cool. Laisse tomber, ce n’est pas grave.

D’un pas décidé je me dirige vers la porte pour rejoindre le salon, quand il me saisit la main, et me tira contre son torse.

Il m’étreint, me serrant de plus en plus fort contre lui. Son regard avait changé.

– Tu as raison. On n’a pas le temps de perdre du temps.

– C’est quoi ton problème?

– Je crois que c’est toi mon problème…

Baiser brûlant round two.

J’avais suffisamment joué à garder mon calme et mon sérieux jusque-là.

Je ne pouvais plus résister plus longtemps.

Tout mon corps bouillonnait.

J’avais comme l’impression d’être sur le point d’exploser tant mon désir était à son apogée! J’aurais littéralement pu lui arracher sa chemise.

Plus je me serrais contre lui, plus son sexe dur me donnait déjà du plaisir au travers de nos fringues encore là!

J’empoignai sa boucle de ceinture pour lui défaire le cran, tout en continuant à l’embrasser fougueusement.

Nous étions tellement excités que nos respirations concordaient, comme une mélodie endiablée entamant “un chant prends moi jai envie de toi”.

Sa boucle décrantée, son jean déboutonné, je passai ma main à l’intérieur de son caleçon.

Et là….. Tenir son sexe…. Me rendit totalement hystérique!

Je me sentais mouiller de plus en plus. L’idée de me cambrer bientôt pour lui offrir ma croupe me faisait trembler comme une pucelle!

Mais pour l’heure, je voulais la sentir dans ma bouche, je voulais lui offrir le plaisir absolu de la plupart des hommes…

Désormais à genoux devant lui, j’admirais ce que la nature lui avait donné.

Et qui de toute évidence pouvait vraiment être considéré comme un cadeau!

Ma langue commença alors à jouer à le faire frémir.

Ses petits gémissements me comblaient de bonheur, et me donnaient envie d’aller encore plus fort, encore plus loin….

Je me touchais en même temps, ce qui l’excitait encore plus!

Sa bite ne tarda pas à taper dans le fond de ma bouche.

Il me faut prendre mon temps, il me faut y aller délicatement maintenant… Avec un tel membre, une gorge profonde s’avère plus compliquée que ce que j’imaginais.

Mais lorsqu’enfin elle passa l’entrée de cette dernière, il agrippa mes épaules en poussant un petit cri…D’étonnement!

Je me concentrai sur ma respiration, afin de pouvoir accélérer le mouvement sans provoquer ce réflexe naturel d’extraction et de vomissement….

De toute évidence, il semblait apprécier..

Et pour lui offrir un moment vraiment unique, je l’invitai de mes mains à empoigner mes cheveux, et je l’amenai à l’ irrumation.

Je voulais qu’il se fasse plaisir.

Il connaissait désormais mes “capacités”, mais je voulais qu’il puisse se contrôler .

Il baisait littéralement ma bouche, et j’adorais ça!

Par moment, je sentais qu’il ralentissait la cadence.

Il n’était pas loin de l’extase.

Et dans un élan peut être d’égoïsme et de provocation, sa dernière pause n’aura pas eu le temps d’en être une…. j’avais repris le contrôle, je jonglais entre vas et viens et  gorge profonde, ne lui laissant pas le temps de reprendre son souffle.

Et au bout de quelques instants,  il se retira d’un mouvement presque violent, pour finir de se branler et éjaculer là, à moitié sur sa main, à moitié sur le sol…

– Putain t’es une grande malade!

– Merci, je vais le prendre comme un compliment.

– Sérieux on ne m’avait jamais fait ça avant.

– C’est triste! Merci d’avoir été gentleman et d’avoir fini ça…. Proprement pour moi!

– Ne recommence pas ça trop souvent. Il se pourrait que je laisse mes bonnes manières de côté la prochaine fois.

– On n’est pas encore assez intime pour ça, m’sieur!

– Ha bah je ne sais pas ce que tu appelles être intime alors !!!!

– Peut-être que, quand à ton tour, tu m’auras fait jouir, on reconsidèrera les choses!

Mon petit sourire enjôleur et mon air taquin  lui permirent de comprendre que je le provoquais  gentiment.

Il n’avait même pas remballé son attirail que je lui tendis un paquet de mouchoirs.

– Tu m’as tué….. me dit-il.

– On y retourne? Un petit verre pour t’en remettre?

Nouveaux éclats de rire, qui pour ma part s’accompagnaient du fameux rire nerveux; notamment celui de la femme qui a donné, mais…. qui n’a pas jouit !

Je ne devrais même pas m’ insurger, tant cela m’arrive, malheureusement, si souvent…..

Mais je n’ai pas l’ intention d’en rester là.

La suite s’annonce… Plus coquine que jamais…..

En plat de résistance - 1ere partie - Récit de Lila Tom

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